spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée

Fév 22

22 février 2003 – Perte du Crès – Aveyron (12)

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Aveyron (12) – 22 février 2003 – Perte du Crès

CRAD : Roro & JiPi

TPST = 3h00

Première promenade sous le Causse Comtal, ici point de puits impressionnants, pas d’enchaînement de verticales, non sous les pieds de formidables réseaux actifs, dont la PERTE DU CRÈS. Perdue dans le bartasse, petite marche d’approche et petit puits d’entrée (P8 artificiel) le réseau se poursuit entre les enchevêtrements de troncs d’arbres et autres débris emportés lors des mises en charge.

La progression se fait sans grande difficultés sinon les quelques rampings ou escalades, le tout dans une eau, qui je dois l’avouer n’était pas très tempérée. Nous n’avons pas osé l’entrée naturelle, peut-être qu’avec une température extérieure de +40°C, on tenterait, ce WE nous n’avions qu’un petit +8°C agrémenté d’un joli vent d’Autan.

Diaporama : ici

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Jan 18

18 janvier 2003 – Igue de Dongay (initiation) – Lot(46)

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Lot(46) – 18 janvier 2003 – Igue de Dongay (initiation) – Lot(46)

CRAD : JiPi -Roro – Le Chbonx – Ramuncho – Doofy – P’tite Marie

TPST = 2h30

Première descente sous terre pour P’tite Marie et premières sensations.

J’avoue que pour une première fois, mon impression était : J’y vais et hop ! J’ai trouvé ça très excitant. Il ne faut pas nécessairement s’appeler Hercule pour faire de la spéléo, mais une bonne technique pour descendre et monter évite beaucoup d’efforts. Ces spéleos-là sont de vrais pro et de joyeux drilles. Ce n’est ce petit froid, à peine cette petite fraîcheur qui ont voulu nous arrêter. Pour ma part, moi, la nouvelle recrue, j’ai apprécié chaque moment avec l’équipe et cette découverte du monde souterrain que je ne soupçonnais pas. Je vais sûrement découvrir cette activité, des plus enrichissante en même temps qu’un super loisir, en toute sécurité.

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Déc 07

7 décembre 2002 – Spéléo dans Lot (46)

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07/12/2002 – Cuzoul de Sénaillac & St Martin (Lot – 46)

TPST : 5,5 heures

CRAD : Roro – Douffy – Chbonx – Natacha – Ramuncho – JiPi – Pascal

Les activités extérieures du CRAD se terminent donc ce week end. Pour les jeunes, c’était l’occasion de se rafraîchir le groin dans les premiers vents d’hiver; pour les anciens le temps de mettre à l’abri dans une cavité.

Nous avons commencé notre petit week end par un classique lotoise, le célèbre Cuzoul de Sénaillac. La cavité se descend rapidement et se remonte tout aussi rapidement, à peine le temps de voir les jeunes remonter. A ce propos, nous noterons que Natacha ne s’est pas posée de question avant de descendre, et a suivi l’équipe sans broncher. Le fond de la cavité est noyée à la base de l’amphithéâtre. Sans doute par manque de moyen technique, nous avons décidé de remonter, sans prendre la peine de tenter le passage dans l’eau.

La cavité suivante était tout aussi humide, mais cette fois-ci, Natacha ne nous a pas suivi jusqu’au bout. Quant à Doofy, il accroche ainsi son premier -100 m à sa liste de cavité. L’igue de St Martin est toujours le même indicateur pour la hauteur des nappes. La base des puits est noyée sur 12 à 15 m de profondeur.

Bref, on notera simplement que ce week end, il faisait pâs chaud, et qu’il est urgent d’attendre les jours meilleurs ! Pour raviver la chaleur de la petite maison, rien ne vaut la présence avérée de Daniel Géhin et de Helmer pour nous conter les histoires spéléo de la région Centre et du département de l’Indre & Loire.

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Oct 26

26 octobre 2002 – Crouzate & Drapeau (Lot – 46)

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26/10/2002 – Crouzate & Drapeau (Lot – 46)

TPST : 7,5 heures

CRAD : Roro – Douffy – Chbonx

Nous partîmes à 3 et nous revînmes à 3. Une journée organisée sur le modèle de la désob 2002, 2 cavités de formation au programme (- 91 et -69) pour notre Douffy, qui ma foi, s’en est bien sorti. Nous ne parlerons pas de ses difficultés à longer dans le P26 de Crouzate, ni de ses crampes dans les mains dans la remontée du puits de Drapeau, ni même de la hardiesse à Chbonxy pour équiper le puits selon l’inspiration de votre ineffable Roro, non on ne dira à personne les 20 minutes nécessaire à la mise en place du lapin de tête de puits. Enfin, nous avons passé 7,5 heures sous terre dans la joie et la bonne humeur.

Un merci, à Doofy pour s’être proposé pour porter le kit dans la marche d’approche du Drapeau.

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Oct 05

5 octobre 2002 – Désob Puech Youle (Aveyron – 12)

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27/07/2002 : Désob Puech Youle (Aveyron – 12)

TPST : 8 heures

CRAD : Roro

De gros moyens matériels pour de très gros travaux de désob. 8 heures de TPST, pour 7 m³ remontés. La cadence est donnée par les godets (150 litres pour un poids de 350 kg maxi).

D’en avoir entendu parlé dans l’Isère, et dans le Berry, d’en avoir eu des échos dans les grands Causses et en Ardèche, après tout cela, le moment fut enfin arrivé d’être courtoisement invité à participer à quelques travaux de désobstruction dans Puech Youle.

Ne vous méprenez pas il ne s’agit en rien d’un M1 bis, ni même d’un J1, non cela ressemble au M3 en plus grand. Le puits d’abord, une profondeur de 30 mètres et un diamètre de 10 mètres. Les moyens ensuite, un treuil avec moteur électrique et un godet pouvant remonter à chaque voyage près de 350 kg de gravats, un tracteur ensuite pour évacuer les gravats, un groupe électrogène.

Pour le fond, ma foi, là rien de bien nouveau des zobeurs, et des seaux pour alimenter le godet. Vous descendez de bon matin, vous remplissez à minima 21 godets, vous remontez pour manger et vous redescendez pour remplir 21 godets à minima pour espérer remonter, prendre une douche, boire l’apéro, manger et aller dormir.

Le lendemain, vous redescendez, vous remplissez 21 godets puis vous démontez toute l’installation et vous avez droit de manger et de rentrer dans vos pénates. Les plus chanceux mettront 1 heure, les autres devront attendre 2 à 3 heures avant d’arriver à la maison.

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Sep 22

22 septembre 2002 – La Poirelle (Indre – 36)

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Indre (36) – 22 septembre 2002 – La Poirelle

CRAD : Ramuncho – Popeye – Natacha – Douffy – Chbonx

TPST : 3,5 heures

Par Ramuncho & Chbonx

Ah, la belle cavité que voilà ! Un exemple pour les jeunes et la jeunesse aussi.

D’ailleurs, les jeunes y sont v’nus et y ont courus partout. Ah, notre bon Popeye : « Oh, un coquillage ! Ah, là… un autre ?!? » Bon, on les a laissé, Ramuncho et moi, vaquer vers ce magnifique boyau merdeux. On connait déjà, nous ! Même qu’avant que la pollution n’apparaissent, on pouvait se baigner dans le siphon terminal. Ce temps est terminé et je sens monter en moi les vapeurs du vieux con, euh, j’arrête là. Les jeunes (Dauffy et Popeye) ont atteint le siphon terminal: C’est bien. Mais quelle surprise au retour, le niveau d’eau étant si bas qu’il nous permis de remonter la rivière jusqu’au lac d’entrée et de shunter la salle des cranes. La remontée fut un peu sportive pour Natacha, avec ce fichu déviateur et cette corde qui ne veut pas sortir à cause du mousqueton qui coince, mais l’intervention « del monitor ramuncho » mis fin au problème.

C’était les nouvelles du sud du nord de la France.

El senior El Chbonxo

En ce jour de dimanche 22 septembre, nous sommes partis pour faire la cavité la plus …(comment dire…), la plus… de la région N. Bref NATACHA , DOUFY , POPEYE , notre bon monsieur GALLET , et le rédacteur de cette prose RAYMOND ont totalisés 3 heures 35 de TPST !?! Et oui, cette bonne grotte de la Roche Noire nous amusera toujours! Bien que le niveau de la rivière soit très bas, la boue connue de tous les pratiquants de cette cavité reste une constante très collante! J’espère que la série de photos que l’on a réalisé sera prometteuse, car on est passé par des passages qui pourraient donner un ou plusieurs effets sur le papiers glacé! Je n’ai pas encore ces preuves incontournables de notre génie, mais cela ne devrait pas trop tarder. A part cela, le mousqueton déviateur a encore fait parlé de lui, Natacha est un petit peu restée à sécher, mais cela fait parti du jeu!?! Nous avons pu nous baigner dans le lac. L’eau est froide et… dans le fond… très boueuse !Pour la résurgence, elle est toujours aussi froide! L’oubli de la sortie: j’avais oublié le canon de pinard pour la sortie! On prendra le double la prochaine fois!

El Ggramuunnncho

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Sep 07

07 septembre 2002 – Réunion de redémarrage – La Cave La Fromagerie (Lot – 46)

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Lot(46) – 7 septembre 2002 – Lacave & la Fromagerie (Lot – 46)

CRAD : Ramuncho – Dauby – Popeye – Roro – JiPi – Domi – Charlotte – Natacha – Jérémy – Absent excusé : Le Chbonx

TPST : 1 + 0,5 h

Pour la première de son histoire le CRAD a redémarrer l’année dans le LOT. En effet, l’implantation de certains ayant considérablement changée, les orientations du club vont changées. Roro, Domi et Charlotte sont désormais à Rodez et JiPi est désormais toulousain. Ainsi donc, la dynamique du club va s’en doute changée, les activités en région Centre devront être plus développées. Le moyens de communication doivent être encore plus utilisés pour que notre dynamique fonctionne. Chacun possède une adresse sur Internet, il appartient donc à chacun de s’investir davantage dans le club par le biais de la communication.

Pour le reste de l’année, seules 4 week end seront programmés:

  • 5 & 6 octobre 2002 désob M1 – LOT
  • 26 & 27 octobre 2002 spéléo « La carrière » – LOT
  • 16 & 17 novembre 2002 désob M1 – LOT
  • 6 & 7 décembre 2002 spéléo « La pucelle » – LOT

La saison de chasse ayant commencée, le camping « à la dure » est au programme de cette fin d’année.

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Juil 27

27 juillet 2002 – Désob M1 (Lot – 46)

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27/07/2002 : Désob M1 (Lot – 46)

TPST : 5 heures

CRAD : Le Chbonx – Popeye – Roro – JiPi – Domi – Charlotte

Pour l’équipe sur place, on parle de petite force. Une explication à tout ça : le championnat, les épreuves de fin d’année scolaire, la chute de la bourse, bref, les joueurs sont en bout de course et il est temps de faire le BREAK nécessaire de mi saison.Pour ce qui est de M Ze One (M1, Ze Trou dans le texte), nous avons déblayé le dernier tir. Ce qu’on a vu est encourageant (un rien nous encourage…). Nous percevons maintenant de manière clair, le départ de méandre. La suite semble descendre et il faut dégager les baquettes en partie basse du départ.

L’autre point est d’ordre technique : ça chie encore en bout de prise. Le bloc-prise est brayé; le changement par une prise « étanche » sera au programme de la prochaine opération. De même, l’équipement au niveau du « passage du HILTI », par des broches est impératif.

Lors de la prochaine sortie (courant Septembre), la réunion du club se fera dans le Lot pour tenir compte de l’éloignement de chacun. Le week end pourra permettre de faire soit de la désob, soit de la classique.

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Juil 13

13 juillet 2002 – Saut de la Pucelle (Lot – 46)

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13/07/2002 : Saut de la Pucelle (Lot – 46)

TPST : 7,5 heures

CRAD : JiPi & Roro
Extérieurs : Pierre – Patrick – Michel – Patrick

Ah, pour être une initiation, c’était une très bonne initiation. Toute la petite équipe nous attendait déjà le vendredi sur le causse de Gramat. Certes, le petit retard d’à peine deux heures aura eu le mérite de lier (sans nul doute) quelques liens avec l’autochtone. Malgré la barrière de la langue, nos quatre initiés ne se sont pas fait remarquer dans la nuit, mais simplement épiés par leurs allures de « Parisiens ».

Bref, les meilleurs sont arrivés, et tout de suite, l’atmosphère typique « spéléo » a réchauffé la nuit. A peine arrivés dans la petite maison de campagne, lieu habituel du CRAD, les initiés ont essayés leurs tenues de star. Saucissonnés dans leur Néoprène, sanglés comme des bourricots dans leurs baudriers, les nouveaux héros des temps modernes se sont rendus compte de l’activité qu’ils abordaient. Les discussions se sont écoulées comme d’habitude très tard dans la nuit.

La technique assez rudimentaire de couchage des initiés est quelque peu déroutante, quand on est dans un lit de camp, à 40 cm du sol, et dans un gros duvet, tandis que les 4 types sont par terre, sur des matelas préhistoriques et dans des duvets assez légers. À QUATRE, ils auront eu au moins le mérite d’avoir passé UNE bonne nuit.

La sortie sous terre s’est déroulée sans encombres. Petits coups de froid pour Pierre, grande fraîcheur pour le Patrick le plongeur, qui a pris plaisir à fouiner le fond d’une vasque, pour retrouver une poignée. Michel et Patrick ont suivis, et comme tout le monde, ils sont sortis éclatés.

Heureux à l’entrée, et abordant cette initiation comme une petite ballade; ils sont sortis tout aussi heureux, mais fatigués, et la tête remplie de souvenirs et d’anecdotes.

On peut citer quelques faits marquants:

  • Un soleil parfait du Patrick le plongeur sur la deuxième cascade
  • Des manip’ artistiques de Pierre et du second Patrick
  • Des chutes d’eau imprévisibles en haut des cascades quand Roro est en haut
  • Des escalades en chaussures orthopédiques pour Michel.

Bref, tout ce qui fait une bonne sortie spéléo. On notera cependant la quantité de bouffe astronomique des initiés. On aurait pu tenir des semaines sous terre, si on avait tout amené.

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Juin 22

22 juin 2002 – Fosse Mobile – Charente (16)

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22/06/2002 : Gouffre de la fosse Mobile (Charente – 16)

TPST : 6 heures

CRAD : Ramuncho – JiPi – Chbonx – Popeye – Natacha – William – Jérémy

Par Ramuncho

Nous sommes partis avec la joie , et nous sommes revenus avec la joie et le plaisir d’avoir dépensé de nombreuses calories dans cette superbe cavité qu’est la Fosse Mobile.

Nous pouvons tous admirer la performance de Natacha qui nous a un peut inquiété mais ceci n’était qu’un coup de bleuf de sa part… Notre Douffy départemental a réussi à passer cet examen avec quelques petits problèmes de techniques mais, il est quand même sorti heureux.

La boue de Fosse n’était pas particulièrement collante, mais plutôt fluide. On a gagné du temps au nettoyage! Bref, pour les plus anciens, un regret de n’ avoir pas pu faire une pointe… Je pense que ceci n’est qu’une partie remise. Mais le retour a quand même été pas mal… Bon , c’est tout ce que j’ai à dire sur ce sujet. Je dois aller chercher BOUBA !!!

Par JiPi

Je prends la balle au bond, et je précise que Natacha a voulu sans doute tester nos réflexes d’auto-assurance. Malgré son petit coup de barre dans la salle Sud, le retour s’est déroulé à la vitesse de la formule 1. En effet, si l’on en juge par le temps qu’on a mis, 45 minutes me paraît être un temps qui ne suscite aucun « coup de fatigue ». Natacha est remontée comme une fleur, sans aucune assistance. Le petit coup de barre dans la salle Sud était sans doute une erreur de jeunesse. Qu’il est dure de se retrouver face à ses propres limites ! L’angoisse d’affronter une endurance jamais atteinte conduit souvent à une attitude étrange de la part des jeunes recrues. Il faut alors éviter de s’écouter pour dépasser ses limites.

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