spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée

16 mars 2002 – Formation Jeunes – Lot (46)

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16/03/2002 : Formation Jeunes – Lot (46)

TPST : 3 h + 3 h + 0,5 h

CRAD : Ramuncho – Douffy – Chbonx – William – Natacha – JiPi

Igue de Reilhac pour se mettre en jambe : William n’est pas descendu. Le trou avait l’air d’être trop gros pour lui.

Cuzoul de Sénaillac : William et Natacha ne sont pas descendus. A priori l’entrée est trop impressionnante.

La fromagerie : Seuls les jeunes y sont allés.

Compte tenu du niveau technique des jeunes, aucun travaux de désob n’a été engagé dans M1.

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9 mars 2002 – Désob M1 – hors prgm

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09/03/2002 : Désob M1 – hors prgm – Lot (46)

TPST : 3 heures

CRAD : Roro – JiPi

Petit week end dans le Lot, et maigre résultat.

On avait pourtant prévu tout ce qu’il fallait pour rendre le week end efficace, mais la technique nous a trahis. Le groupes de ventilateurs (VMC2 – VMC3 – VMC4 et VMC5) présentent un problème électrique. Il semble que des cailloux bloquent la VMC 2. Nous en avons profité tout de même pour élargir la base du P1, avec 3 tirs à l’italienne.

Pour pourvoir continuer les travaux dans M1; le prochain week end Lot deux objectifs :

1- Cavité de formation pour les jeunes le matin (Drapeau et Limogne);

2- Déblayer la base du P1 avec les jeunes (la terre commence à tomber dans le tuyau de poêle).

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23 février 2002 – Gouffre de Saulnière (16)

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23/02/2002 : Gouffre de Saulnière (Charente – 16)

TPST : 4,5 heures

CRAD : Ramuncho – Douffy – Fox – Popeye – Natacha – William – Chbonx – Dauby – JiPi

C’est sans doute l’une des cavités les plus accessibles pour découvrir la magie des cristaux de calcite (stalactites, stalagmites, excentriques, fistuleuses, perles, dents de cochons, mini gours, etc…). Mais c’est aussi pour certains jeunes les premières épreuves physiques pour atteindre ce monde cristallin. Natacha et William ont connu des grands moments dans le puits étroit, lors de la remontée, Fox et Douffy la baisse inquiétante de leurs éclairages et Popeye l’angoisse de perdre ses bottes dans un passage quelque peu boueux. Pour ma part (JiPi), mon tuyau d’arrivée de gaz a pris feu près de la buse : un nouveau défi pour éteindre en un temps record le feu !Tout c’est déroulé comme sur des roulettes dans la cavité, les jeunes ont pu découvrir ce gouffre sympa. Pour contre le soir, ce fût la GUERRE ! La salle des fêtes recevait le samedi soir, les champions de la voitures qui va partout ! Ramuncho a failli perdre son sang froid. Faut dire que les types d’en bas ont passé de la « simili » musique [une approche de techno mélangé avec les tubes les plus nuls des années 80] jusqu’à 5 h 30 du mat ! Le ZIN BOOM infernal n’a toujours pas fait craquer les anciens, ni les plus jeunes. Néanmoins, je pense que le premier qui fait écouter ce genre musical à Ramuncho signera vraisemblablement un arrêt maladie de quelques mois à l’hôpital, le temps d’apprendre à marcher au plâtre (ce sera sans doute plus court !).

Commentaires et analyses de Ramuncho: Nous fûmes partis et nous fûtes revenus après maintes petites péripéties :

– Départ – première panne : L’ Express n’a plus de batterie ; mais avec des câbles de démarrage cela est vite réglé …

– Sur la route; pas de pot !!! En allant chez JiPi, le feu de droite a cramé; ce n’est pas grave on met en phare… et nous voyons rien du tout parce que le gauche est cramé aussi… Pas grave, je vais chez le pollueur et je prend deux ampoules H4 pour la modique sommes de 14,40 €uros, à croire qu ‘ il y a de l’or dedans. Je me dépêche d’ouvrir les boîtes et de démonter les ampoules défectueuses et de m’ apercevoir que ce n’est pas le bon modèle. Bien sûr, le pollueur ne reprend pas les boîtes ouvertes!!! Bref, Saint DAUBIE est chez lui et par miracle, il a des ampoules (grand merci à Saint DAUBIE ).

– Nous partons enfin vers la Charente et, sur la divine route on peut rencontrer de tout , y compris de quoi éclater un pneu de voiture!?! Pas grave, un cric, une roue de secours et le tour sera joué en 5 minutes ! Eh oui !!! La roue de secours est à plat, le cric n’est pas complet et pas de quoi démonter la roue!!! Mais Saint DAUBIE est encore intervenu. Ah ! mon bon Saint DAUBIE !!! On répare à 1 H 30 du matin , et on répare gratoch’ ! Bref, on arrive à Agris de bonne heure, à 2 H 30 du matin.

– La nuit de samedi à dimanche [huummm, comment vous dire…]. Si la connerie avait un président; on le connaît maintenant ! On a supporté ses discours jusqu’à 6 h 45 du matin!!! Bref , à part cela, 4 H 30 de TPST pour nos jeunes, émerveillés par tant de beauté, venue de ce bas monde. Le gouffre de Saulnière reste malgré tout, une très belle cavité.

P S : m ‘ sieur Gallet à t’y bin trouvé la route du retour ? Bien le bonjour à vo’te Dame m’sieur GALLET !

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(pas de titre)

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du 11 au 15/02/2002 : Désob dans M1 « Hors Programme » + la fromagerie – Lot (46)

TPST : 3 h + 0,5 heures

CRAD : JiPi – Patrick CANDELA + MC et ses 2 petits.

On a pu constaté que les travaux de réparation du système de ventilation artificielle de la cavité n’ont pas été vains. Ça marche au poils ! Pas un poils de CO2 qui ne soit pas tenable. Nous avons passé 3 heures dessous sans le moindre problème de gaz; ce qui présage des durées d’intervention pour les travaux de déblaiement assez longs tant que nous n’enlèveront pas le bouchons au fond du trou.Pour les prochaines opérations de désob, il faudra prévoir un effectif supérieur à 5 si on veut avancé. Attention, seuls les spéléos majeurs et totalement autonomes peuvent descendre dans M1.

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11 février 2002 – Spéléo dans le Lot (46)

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du 11 au 15/02/2002 – Brantit 1 – Brantit 2 – St Sol – L’Igue du Loup – Lot (46)

TPST : 10… heures

CRAD : Popeye

 

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11 février 2002 – Semaine en Ardèche pour certains du 11/02 au 15/02 « Hors Programme »

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du 11 au 15/02/2002 – Cotepatière – Fontaine de Champclos  – Évent de Peyrejal – Ardèche (07)

TPST : 10,5 + 5,5 + 2,5 heures

CRAD : Roro, Domi et Charlotte

Bilan : GÉNIAL !!!

– Cotepatière : pas d’équipememnt spécifique

– Cocalière : Pas d’équipement spécifique

– Fontaine de Champclos : traversée possible (néo) C20 + 2 spits pour puits entrée artificielle- Goule de Sauvas : C20 + 6 spits

– Aven de la Salamandre : P47 soit C60 + 7 spits (aussi intéressant que l’Aven Armand)

– Évent de Peyrejal : Prévoir une corde de 100, 10 sangles et 20 spits.

La fiche équipement du bouquin spéléo en Ardèche est erronée. La branche de Sauvas est réputée pour ses conduites forcées 500 mètres à parcourir.

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3 février 2002 – Carrière souterraine de Trogues (86)

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03/02/2002 – Carrière souterraine de Trogues (86)

TPST : 2,5 heures

Popeye – Jérémy – Fox – Natacha – JiPi – Dauby – Ramuncho – Alexandre – Nicolas

Enfin une petite sortie dans notre département, c’est pas trop tôt diront certains. Il fallait que les « jeunes » connaissent cette carrière souterraine; cela est fait et est sans doute à refaire.Du canot pour tout le monde, mais pas pour JiPi. Une petite photo assez travaillée sera sans doute à la page sur ce site.

A noter aussi que cette cavité est toujours boueuse et a la fâcheuse habitude de pourrir les voitures. Petite histoire : Popeye s’est fait flashé avec une grosse ampoule ; il n’a pas appuyé le bouton du bon côté. Je ne sais pas si c’était le coup de flash, mais il a fait baigner le déclencheur dans la flotte. Quant à nos jeunes, ils ont tous pataugé pour avoir le plaisir de se changer totalement ensuite ; c’est jeune quoi !

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26 janvier 2002 – Désob M1 (Lot – 46)

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26/01/2002 – Désob M1

TPST : 6 heures

Groro – Popeye – Chbonx – JiPi – Dauby – Fox – Ramuncho

26Objectifs initiaux : – Remplacement de la VMC 2 – Modification et remplacement du manchon de la VMC 4 – Tir dans le passage du Hilti (-66 m) L’ensemble des objectifs a été atteint, dans la joie et la bonne humeur avec en prime une météo favorable. L’équipe a fonctionné par binôme autonome avec chacun une tâche précise à accomplir. L’équipement de la cavité a été réalisé par Chbonx, les mesures gaz par Ramuncho jusqu’à -56 m (soupirail) – [3 %], Dauby a changé la VMC 2 et monté le coude sur la VMC 4 avec JiPi, tandis que Groro et JiPi ont terminé le boulot avec le minage du passage du Hilti (-66 m). Quant aux jeunes, ils ont visités M3, la fromagerie et le causse environnant. Le Poum a mis en joie l’ensemble de l’équipe prêt a agir pour la prochaine séance de désob. Petite histoire : Décoration de la Xsara (projection de boue) pour le Fun. Panne de lumière pour JiPi pour le minage et remontée en nocturne avec déséquipement. Panne de voiture pour Dauby sur l’autoroute A20 et rangement de la voiture à Limoges (super non !). Reste le matos a briquer après ces exploits. Fringues parfumés à l’odeur de fumée et Papy gratouill’ pour le nettoyage de la petite maison.

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19 janvier 2002 – Entraînement château d’eau de Tours

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Indre & Loire (37) – 19 janvier 2002 – Entraînement Château d’eau

CRAD : Popeye – JiPi – Jérémy – Fox – Dauby – La Maman de Fox (pour surveiller)

Un entraînement somme toute dans les règles. Le gentil organisateur a préparé les équipements de chacun; puis l’autre ancien s’est occupé de Jérémy pour lui montrer les premiers pas sur la corde. Fox s’en tire pas mal. Quant à Popeye il est grand temps qu’il connaisse les grands vides souterrains ; les manips sur cordes sont fiables. Quant au gentil animateur, il serait temps qu’il se préoccupe du bidon de 6 litre qu’il a incorporé dans son « bide » !

 

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Opération Berger 2001- Inter-club multi-régional inter-départemental

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du 1er au 10 Août 2001 – Commune de Autrans (38)

Ce camp spéléo a été organisé par des spéléos de la région Centre (Thierry Masson SC Valençay – Rodolphe Maljean CRAD – Samuel Prost CT36). Quelques quarante spéléos étaient présents sur le site, répartis en plusieurs clubs spéléo, dont le SC Valençay (36) , GRESB (18), GRS28, GSOrléans (45), CRAD (37), SCTours (37), GAS (45), GRSBesain (39), CLAC(36), des spéléos de Grenoble (38), de Millau (12), et de Sancerre (18).

Nous ne remercierons pas assez la commune d’Autrans qui a mis à notre disposition un champ communal à un tarif défiant toute concurrence, avec un minimum de commodités (2 WC, 1 douche chaude), ainsi que des tables et des bancs, un congélateur, un frigo, du courant et une pièce en dur pour stocker les denrées. Une grande tente servant à prendre les repas en commun nous a été d’un grand secours; merci à l’équipe organisatrice de ce camp spéléo.

Le temps aussi, était de la partie puisque nous avons bénéficié d’une météo relativement favorable durant une bonne partie du camp. Néanmoins, la pluie de fin de camp nous a obligé à renoncer à la cote mythique des -1000 m (et plus) du gouffre Berger. La plupart des héros qui ont participé à ce camp, sont descendus jusqu’à la cote -640 m, juste avant les passages humides. Seuls les plus aptes ont poussé jusqu’à la cote -900 m (compte tenu de la dégradation météo annoncée le matin même de la pointe finale).

Les équipes de spéléos se sont formées par affinité, en petits groupes efficaces avec, pour chacun d’eux un objectif précis annoncé au pilote de l’opération (Thierry Masson). Pour le CRAD, le camp s’est déroulé sans inquiétude et les objectifs de chacun ont été tenus (-640 m pour tout le monde).


·      1ère sortie en commun :
OBJECTIF : portage des kits jusqu’à la cote -550 m
EQUIPE : Jean-Noël (GRSB) – Sylvain (SCT) – Romain et Steph (GAS) – Pascal (GRESB) – Jean-Pierre (CRAD)
TPST : 10 h 30

La sortie s’est déroulée à un rythme tout à fait tranquille, qui permet une visite sans bousculade dans les couloirs. Les puits, méandres, éboulis se sont passés sans encombre. Outre la découverte des volumes souterrains du gouffre Berger, les quelques puits à la verticalité parfaite, les méandres à n’en plus finir, nous noterons que nous avons bien mangé. En effet, c’est sous terre que nous pouvons manger des mets que sans doute nous n’oserions jamais manger en surface, tellement les mélanges semblent étranges.

·     2ème sortie en commun:
OBJECTIF : photo à la salle des Treize et visite jusqu’aux Coufinades (-640 m)
EQUIPE : Jean-Christophe (GRSB) – Jean-Hubert (GRSB) – Pascal (GRESB) – Jean-Pierre (CRAD)
TPST : 9 h 00 pour les uns – 10 h 00 pour les autres

N’avez-vous jamais fait ce rêve : Descendre sous terre avec la Dream Team ? Et bien, pour Pascal et moi, ce fut le cas ! On ne ressort pas indemne d’une telle expérience, suivez plutôt :

o      Démarrage de la journée de bonne heure; on se lève à 7 h 00 pour décoller du camp à 8 h 00. Là, première lueur de bonheur: Angoulême (Jean-Christophe) ne trouve plus ses clés de voiture et commence à les chercher. Il faut alors lui dire de transférer son matos dans la voiture de Shadock (Jean-Hubert). Mais celui-ci ne percute pas tout de suite et se demande s’il faut oui ou non vider sa voiture pour la sortie.

o      Avant la marche d’approche, Angoulême prépare son matériel photo. Il descendra donc avec son Sherpa puisque ça ne veut pas rentrer dans des kits plus petits : C’est gros un Sherpa dans les méandres – mais bon, c’est lui qu’il le porte.

o      Pascal et moi-même commençons la descente. J’avoue que le rythme est soutenu, mais la visite des puits s’est faite avant et la beauté d’un puits ne nous ralentit pas. Au début du méandre je m’arrête pour attendre la Dream Team (Angoulême et Shadock). On attend quelques minutes, puis les minutes deviennent un peu longues. Je demande à Pascal quelle pourrait être la raison de ce premier arrêt. On attend encore pour écouter le silence; RIEN. Au bout d’une dizaine de minutes, nos deux héros nous rejoignent enfin. Raison du retard : ON VISITE. Je leur rappelle que notre objectif est la cote -640 m et que je ne compte pas camper au fond de ce trou. Il y fait froid et tout noir.

 

 

 

 

 

Puits  Aldo et Garbit

o      Durant la progression, je leur montre les repères qu’ils leur seront nécessaires pour la remontée tout à l’heure. Je n’hésite à leur explique qu’il faut suivre le cheminement le plus évident pour trouver la sortie.

o      Salle des Treize : On pose le matériel et la bouffe; nous avons déjà passé 3 h 30 là dessous. On grignote 1 ou 2 barres de céréales, et on commence la progression à vide cette fois, jusqu’aux Coufinades (-640 m). Chouette rivière, chouettes concrétions, bref, un véritable enchantement que cette partie du réseau.

o      Séquences photo à la salle des Treize : Angoulême assisté de Shadock compose ses clichés avec ses pots de yaourt (pour lui, c’est comme ça que c’est le plus beau). Pour moi, je sors l’artillerie habituelle pour quelques clichés. Après une rapide évaluation du volume je règle à la « va vite » mes instruments. J’explique à Pascal la manière de faire partir les flashes magnésiques (il grillera une ampoule pour voir comment ça fait…). Ce gouffre mérite une couverture photo, tant les gours, les concrétions les volumes sont sympas. On arrive facilement à évaluer les volumes. Reste que le matériel photo se compose de beaucoup d’éléments indispensables pour un cliché réussi, et que son encombrement, sa mise en place implique de multiplier la durée de la visite par 2 ou 3. Ce n’est pas l’objectif de cette sortie.

Salle des Treize

o      Le retour vers la sortie se fait assez rapidement, à tel point que nous sommes sortis (Pascal et moi), une heure avant la Dream Team, avant que le soleil se couche, profitant ainsi des derniers rayons, avant la marche de retour (50 minutes).

·      3ème sortie en commun :
OBJECTIF : Remonter les 9 kits de matériels laissés par les autres équipes à la cote -200 m
EQUIPE : Pascal (GRESB) – Sylvain (SCT) – Rodolphe – Thierry G – Nicolas – Jean-Pierre (CRAD) – Jean-Claude (12) – Jean-Hubert (GRSB)
TPST : 4 h 00

Une équipe de portage efficace sous terre comme sur terre, on en a rêvé, l’équipe Berger 2001 l’a fait. Nous étions 8, et 9 kits nous attendaient en bas. Aucun soucis, malgré les passages galères dans le méandre avec deux kits. Comparativement avec les puits, ce fut sans nul doute les moments les plus acrobatiques de cette équipé.


soirée apéritif offert par le Comité Spéléo Régional Centre

·       Échos des autres sorties en commun:

Pour le GRS28, ce camp restera sans doute l’une des plus grandes expériences, qui permettent à chacun d’entre nous de se mesurer aux dimensions souterraines; une bonne leçon d’humilité.


·      La descente de canyon du séjour : canyon des Écouges
EQUIPE : Sylvain (SCT) – Rodolphe – Thierry G – Nicolas – Jean-Pierre (CRAD)
Temps Passé: 4 h 00

 

Ça faisait longtemps que nous n’étions pas descendus dans un canyon pour nous mouiller nos petits derrières. Nos techniques de descente sont loin d’être celles en vigueur, mais elles sont sûres (corde en double + corde de secours). Sylvain est parti sans gant, ni veste néo : il est courageux le petit !

Quelques sauts sont au programme, et le parcours reste somme toute très accessible, même pour des néophytes. Néanmoins, c’est l’appareil photo qui n’a pas trop apprécier les sauts. Le film a pris l’eau ; dommage pour quelques photos ! On saura la prochaine fois.

 


·      Les randonnées pour conserver la forme :
EQUIPE : Rodolphe – Thierry G – Jean-Pierre (CRAD) – Jean-Hubert (GRSB) – Jean-Noël (GRSB) -Sylvain (SCT)

Pour conserver la forme et éviter les temps morts qui n’apportent pas grand chose, nous avons choisi de nous exprimer dans la randonnée. Pour commencer notre petit séjour en Isère, quoi de plus dégrisant que de faire une petite marche jusqu’à l’entrée du gouffre Berger, juste après notre arrivée sur place (après 7 heures de voiture); quoi de plus décontractant que de prendre un bon bol d’air frais.

Après la première sortie à -550 m, nous nous sommes dégourdis les jambes en allant voir l’entrée de la « glacière ». A en juger de la topographie du terrain environnant, on se rend compte que les visites de ce gouffre ne doivent pas être aussi fréquentes que celles d’une terrasse de café (aussi minable qu’il soit). Ça monte dru assez longtemps; tout du moins suffisamment pour vous exploser un petit instant. On imagine alors le pire avec un sherpa sur le dos et tout l’attirail spéléo pour une bonne descente.

Durant notre petite journée de repos, nous nous promenés du côté de la « cote 2000 », aux alentours de Villars de Lans. La vue sur Grenoble est vraiment superbe, enfin quand les nuages ne sont pas là ! On a aperçu un animal semblable à une bique qui semblait nous imiter quand nous tentions de voir Grenoble. La biquette a sans doute été déçue de la vue, tout comme nous d’ailleurs. Nous avons vu aussi un petit troupeau de marmottes calées sur des rochers. C’est sans doute elles qui nous regardaient en se répétant : « Mais qui sont les types qui nous attend ? « 

Une autre petite visite, mais celle-ci en voiture cette fois, nous a permis de visiter « en touristes », les entrées d’un autre réseau souterrain, qui s’ouvre en bordure de route. Ça souffle et c’est tout froid là dedans !

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