Lot (46) – 25-11-2000 Igue de Saint Sol – Stage Photo (CSR N) CRAD : Pétouze – Popeye GRS 28 : 4 spéléos TPST : 8,5 heures |
Le stage photo était organisé par Pétouze au niveau de la région Centre.
Le résultat en images :
spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée
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Août 11
05 au 11 août 2000 – Camp JEUNES dans le Lot TPST: un max ! Stéphane – Angélique – Sébastien – Charlotte – Nicolas – Alexandre – Rudy – Sylvain – Steven – Sylver – Marie – Pauline Rodolphe – Nicolas – Laurent – Dominique – Jean-Pierre – Jean-Noël – Jean-Hubert – Brigitte – Maël – Daniel – Raymond |
Nom de code : Boit tout et bouffe le reste !
samedi 12 août 2000 :
Jean-No / Roro / Bob |
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Juil 01
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Juin 12
10 au 12 juin 2000 – Congrès National FFS à Tarascon s/Ariège TPST: 4,5 h Groro – Chbonx – Dauby – Pétouze |
Les photos parlent d’elles-mêmes…
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Juin 03
03-06-2000 La Fromagerie / Event des jonquilles TPST: 0,5 h + 4 h – Topo Groro – Domi – Charlotte – Dauby – Pétouze |
Visite guidée de la grotte de la Fromagerie pour Domi, Charlotte et Groro. Y en a qui ferait n’importe quoi pour gratter des heures de TPST.
L’Évent des jonquilles en deuxième partie; tout un programme. En fait, nous avions commencé la journée par cherché le Cloup Séguié, une de ces cavités qu’on se dit qu’il faudrait visiter, mais que le temps nous manque pour tenter d’espérer un jour, réaliser nos rêves (mêmes les plus fous).
Dauby au guidon de sa Chevrolet – six cylindres en vrac et arbre à cubi’ en tête – navigue dans le causse en espérant trouver cette cavité quasi mythique. C’est dire sa détermination, quand on voit l’équipement du trio du week end : pas de carte, pas de descro, bref, de véritables touristes en mal d’aventure.
Au bout d’une heure (on est assez long à la réflexion), nous décidons qu’il serait plus judicieux d’orienter notre activité vers une cavité dont on connaît approximativement la topo. L’évent des jonquilles est notre cible. Forcément, aller dans le Lot pour faire une cavité en Corrèze, c’est quelque fois désarmant. Si vous faites cette petite rivière par hasard, vous comprendrez aisément notre choix, tant le niveau de difficulté est faible, et tant c’est une rivière souterraine chouette et sympathique (pour aller loin, prévoyez des néo ou des ponto).
Notre Dauby est remonté tant bien que mal dans le tuyau d’accès, et sans trop couiner, malgré ses deux kits au cul.
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Mai 05
05-05-2000 Lacarrière 2 – Le retour / Le saut de la pucelle TPST: 11 h / Groro – Dauby – Ramuncho – Chbonx – Pétouze |
Nos héros de l’aventure ne se lasse jamais et surtout ne se découragent pas si facilement que ça. Ce n’est pas parce qu’un certain Dauby tente de se faire pénétrer le fondement par une stalactite qu’il faudrait obligatoirement conclure à l’abstinence de spéléo sous prétexte de comportement amoral sous terre.
Non, devant l’adversité, le CRAD fait bloc sans pour autant faire tas. Au petit matin (qui s’avérait être presque midi), la fine équipe aborde le champ de seigle avec délicatesse et volupté, tel le condor qui profite du moindre courant d’air pour prolonger son vol (Ah ! , ça y est, j’déconne…).
Bon, on est descendu dedans le trou, et pis c’était bien parce qu’aucun ancrage n’a cédé. Avec Groro, Chbonx et Pétouze la visite d’un des affluents a été faite au pas de charge, tandis que le (non, les) gros de la troupe attendaient devant le passage acrobatique (en fait une vire tout à fait casse gueule, prêt à craquer au moindre à coup sur le câble).
Nous sommes sortis de la grotte après une bonne visite post siphon, compte tenu de la météo incertaine (au dire de Météo France). A ce propos, sachez que quel que soit le temps qu’il pourrait faire, les prévisions tiennent souvent de la longueur du pont dans la semaine et que de ce fait, les prévisions météo ont plutôt cette forme :
– Samedi – temps incertain avec risque localisé d’orage parfois violent.
– Dimanche – les orages pourront s’intensifier pouvant donner de la grêle.
Sur le terrain, le spéléo s’inquiète et vocifère en même temps. Que faire, dans quel état gère? Faut-il continuer à s’abreuver durant la journée pour tenter d’oublier ce mauvais temps, ou faut-il risquer sa vie sur une corde et sous terre, pour assouvir une passion qui échappe encore à la plupart des médias et du grande partie du « grand public ».
Pour nous, pas de soucis, nous avons tenté de concilier les deux (le risque et l’image de la spéléo), en effet, n’écoutant que notre courage, nous sommes allé voir jusqu’au siphon (faible débit), et nous avons testé le Merlot le soir au coin du feu (c’est pas que ce soit génial en soit, mais ça fait du bien pour où ça passe).
Pour la rivière souterraine dans la Pucelle (la topo a été publiée dans la revue « Spéléo »), la météo incertaine ne nous a permis d’aller bien loin.
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