spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée

05-05-2000 Lacarrière 2 – Le retour / Le saut de la pucelle

https://www.facebook.com/CRAD37

 

05-05-2000 Lacarrière 2 – Le retour / Le saut de la pucelle

TPST: 11 h /

Groro – Dauby – Ramuncho – Chbonx – Pétouze

Nos héros de l’aventure ne se lasse jamais et surtout ne se découragent pas si facilement que ça. Ce n’est pas parce qu’un certain Dauby tente de se faire pénétrer le fondement par une stalactite qu’il faudrait obligatoirement conclure à l’abstinence de spéléo sous prétexte de comportement amoral sous terre.
Non, devant l’adversité, le CRAD fait bloc sans pour autant faire tas. Au petit matin (qui s’avérait être presque midi), la fine équipe aborde le champ de seigle avec délicatesse et volupté, tel le condor qui profite du moindre courant d’air pour prolonger son vol (Ah ! , ça y est, j’déconne…).


Bon, on est descendu dedans le trou, et pis c’était bien parce qu’aucun ancrage n’a cédé. Avec Groro, Chbonx et Pétouze la visite d’un des affluents a été faite au pas de charge, tandis que le (non, les) gros de la troupe attendaient devant le passage acrobatique (en fait une vire tout à fait casse gueule, prêt à craquer au moindre à coup sur le câble).
Nous sommes sortis de la grotte après une bonne visite post siphon, compte tenu de la météo incertaine (au dire de Météo France). A ce propos, sachez que quel que soit le temps qu’il pourrait faire, les prévisions tiennent souvent de la longueur du pont dans la semaine et que de ce fait, les prévisions météo ont plutôt cette forme :
– Samedi – temps incertain avec risque localisé d’orage parfois violent.
– Dimanche – les orages pourront s’intensifier pouvant donner de la grêle.
Sur le terrain, le spéléo s’inquiète et vocifère en même temps. Que faire, dans quel état gère? Faut-il continuer à s’abreuver durant la journée pour tenter d’oublier ce mauvais temps, ou faut-il risquer sa vie sur une corde et sous terre, pour assouvir une passion qui échappe encore à la plupart des médias et du grande partie du « grand public ».
Pour nous, pas de soucis, nous avons tenté de concilier les deux (le risque et l’image de la spéléo), en effet, n’écoutant que notre courage, nous sommes allé voir jusqu’au siphon (faible débit), et nous avons testé le Merlot le soir au coin du feu (c’est pas que ce soit génial en soit, mais ça fait du bien pour où ça passe).
Pour la rivière souterraine dans la Pucelle (la topo a été publiée dans la revue « Spéléo »), la météo incertaine ne nous a permis d’aller bien loin.

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1836

22-04-2000 Igue du Loup / Cuzoul de Sénaillac

https://www.facebook.com/CRAD37

22-04-2000 Igue du Loup / Cuzoul de Sénaillac

TPST: 4 h 30 /

Ramuncho – Rudy

Pas de compte rendu – A ma connaissance, ils s’en sont sortis sans trop de casse !

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1834

22-04-2000 La Barelle / Aven de Dès / Sourgettes / Aven Armand

https://www.facebook.com/CRAD37

22-04-2000 La Barelle / Aven de Dès / Sourgettes / Aven Armand

TPST: tout plein /roro – Domi – Charlotte – Nathalie – Alexandre – Nicolas – Dauby – Bob – Chbonx – Pétouze – Sylvain (extérieur)

Alors là, je n’avais encore jamais vu ça !
En fait, nous sommes descendus dans les grands Causses en doublette avec l’opération organisée par le CSR Centre (Comité Spéléo Régional – région N), pour la préparation Berger 2000. Nous étions dans le même ensemble de gîtes (Hyelzas – 48 – Claude Praplong). C’est dans une ambiance des plus formidables que nous
prenons contact avec les spéos de notre région. Cordiaux et amicaux, nous partageons le gîte avec ces gars et ces gonzesses qui partagent cette même passion qui nous anime tous (c’est chié ça, non – c’est vendeur hein ?). L’apéro est bien évidemment là, sans quoi je ne sais pas si nous serions restés (!?!).

020-024Pour eux, c’est les gros trous qui font leur programme (Banicous, Hures, etc…), pour nous, ce sera La Barelle et des petits trucs peinards du côté de la Jonte (Sourgette, et autres trous). Le temps est bien évidemment de la partie, puisqu’il n’arrête pas de flotter. Du matin jusqu’au soir, c’est cette petite pluie fine qu’on aime tant chez les spéléos, et qui transperce tout et vous trempe comme un morceau de pain dans la soupe, sans aucun remord, ni repenti.
C’est pas grave, on est là, et il faut se bouger. De toute manière, ce temps ressemble à s’y méprendre au temps de la Coume (31) ou encore à celui de la PSM (64), à raison de 3 jours de pluie pour 1 heure de soleil. C’est à ce prix que l’on devient spéléo disait Haroun Tazieff (à moins que ce soit Cousteau – j’ai un doute la dessus). Bref, il pleuvait et ça commençait bien par nous prendre le choux. Nous sommes descendus dans La Barelle – C’est super et c’est vraiment joli (je suis sérieux là !). Ensuite on est descendu dans la gorge de le Jonte (une gorge profonde…) pour y sonder les bords:
– c’est bien aussi (c’était humide aussi).
– C’est après que ça c’est vraiment gâté. En fait, ce superbe temps nous laissait de marbre, et nous nous en contentions. On aurait dû se méfier d’un si bon déroulement des activités (même sous la flotte).
Dans l’après midi, nous remontons sur le Causse Méjean pour y faire l’aven de « Dès ». On gare les bagnoles, après les avoir décorées avec la boue du chemin, puis on s’équipe et on descend sous terre.
Jusque là, vous me direz, c’est normal. Après la visite de la cavité, tout le monde remonte et se change près des voitures (là aussi, c’est normal). Et puis, il faut bien le dire, c’est pas qu’on s’ennuie, mais on s’fait chier, et il faut rentrer au gîte.
J’embarque dans ma voiture et je m’engage sur le chemin plein de boue. Je m’éclate pas mal dans ce chemin. La boue remonte jusque dessus la voiture – c’est tout rigolo. Au bout du chemin, je m’arrête pour attendre Groro. 5 minutes passent, et nous commençons à médire sur le compte de Groro, en compagnie de Bob et de Chbonx (c’est gratoch’ et ça fait plaisir).
10 minutes passent encore, et là, ça commence à nous agacer, alors on médit un peu plus (c’est pas que ça arrange les choses, mais ça fait vraiment du bien, je vous assure !). 20 minutes sont passées, et il faut bien se rendre à l’évidence, il doit se passer quelque chose à l’autre bout du chemin.
Nous décidons de faire demi-tour, et re-éclate dans ce chemin (il faut bien ça pour la suite…).
Nous arrivons sur le parking, où nous voyons ce brave Groro et Sylvain à côté de l’Alfa GroMerdo, occupés à des trucs dont nous ne saisissons pas encore le sens.
– RUBRIQUE : CH’SUIS DANS LA MERDE, LA BIG MERDOUME –
Saviez-vous que l’Alfa GroMerdo est équipé d’un anti-démarrage codé et d’une alarme anti-voleur, le tout formant un merdier innommable! La petite télécommande avait pris l’eau, et alors elle ne marchait plus: c’est chié, non! Donc, et comme c’est le prix à payer quand on est équipé de machin bourré d’électronique, nous étions électroniqués en plein sur le Causse Méjean, le dimanche de Pâques, vers 19 h 30 – Chié, non ?
Impossible de déplacer l’engin, sans risquer de niquer autre chose, et là, je crois sincèrement que nous étions dans la merdasse. Nous avons visité Méryuès, puis une autre équipe, Millau. Pour finir, il a fallu se rendre à l’évidence : CETTE PUTAIN DE BAGNOLE A LA CON NOUS FAIT VRAIMENT CHIER !
A 23 h 50, la décision est prise d’aller chercher le double de la télécommande à Châteauroux (à 500 bornes de là, une rigolade!). Nous sommes donc partis à trois (et pas à Troie où nous n’avions rien à faire), pour cette expédition de la dernière heure.
Nous avons passé la bagatelle de 18 h 00 dans la voiture, pour faire chacun de nous (Groro, Chbonx et Pétouze), nos 500 bornes chacun.
C’est chouette la spéléo, d’autant que pour Chbonx, il a eu droit à une bonification de 1 heure trente supplémentaire de bagnole pour rentrer chez lui (Tours – 120 km de Châteauroux).
Les Grands Causses réservent quelques fois ses surprises – à nous de les apprécier à leurs justes valeurs.

Accès aux photos

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1828

15-04-2000 Chabot – Les Roches – Boisdichon

https://www.facebook.com/CRAD37

15-04-2000 Chabot – Les Roches – Boisdichon

TPST: 2 h /

Roro – Domi – Charlotte – Chbonx – Alexandre – Nicolas – Angélique – Sébastien

Alors là, c’est vraiment bête, mais personne n’a fait les compte-rendus de la sortie. C’est chié ça, non ?

 

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1826

18-03-2000 Lacarrière

https://www.facebook.com/CRAD37

18-03-2000 Lacarrière

TPST: 6 h 30 /

Groro – Dauby – Ramuncho – Chbonx

Ca avait pourtant bien commencé, le vendredi soir, tous à l’heure pour le départ de Monts (37). Ramuncho, le Chbonx et Dauby, la R25 et la remorque pleine, nous partions ensemble en direction de Châteauroux pour faire plaisir à Chbonx (ça gagne du temps – quel imbécile celui là, quand il s’y met !), puis Autoroute A20 direction le Lot, objectif Lacarrière.
Dans le Lot, rendez-vous avec Roro et l’apéro du vendredi nuit (c’est normal, vu l’heure à laquelle on arrive !), qui se révèle être du pinard !

Nous tenons tous à remercier Ramuncho et son « panier d’osier » qui nous a permis de nous remplir de gosier.
Samedi matin : Réveil 8 heures – petit déjeuner – appros (*) – préparation des kits et du matos – et enfin prêts pour entrer dans la cavité sur les coups de 13 heures.
Là, le Chbonx se lance sur l’équipement, suivi de Roro, Ramuncho et puis de moi-même; chacun son kit et nous voilà partis tous dans le trou. Les puits sont équipés et descendus sans peine, mis à part les grognements de Ramuncho qui essayait de pousser les parois (quelques peu étroites par endroits) avec son ventre. Son ventre étant mou et les parois dures, il en résultait donc des bruits (grognements) que la cavité n’a pu totalement étouffer.
Dernier puits, je passe devant Ramuncho, mais après Chbonx et Roro, et là, sur le dernier amarrage, je commence à descendre et me retrouve aussitôt 5 mètres plus bas, où m’attendait un sinistre rocher qui a voulu me déchirer le fondement.
Il y serait parvenu si je n’avais pas eu le réflexe de serrer les fesses.
Résultat : sortie immédiate de la cavité. C’est pas grave, sauf que j’ai toujours mal au cul 3 semaines après.

 

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1824

04-03-2000 rivière de St Christophe

https://www.facebook.com/CRAD37

04-03-2000 rivière de St Christophe

TPST: Zéro canette /

Groro – Dauby – Chbonx – Pétouze – Ramuncho & Rudy

Les Deux sèvres, c’est quand même pas tout près de l’Indre & Loire, ni de l’Indre. Tout le monde c’était concerté, et la fine équipe se retrouve sur la place de l’église de St Christophe, à côté de Champdenier Saint-Denis, au Nord de Niort (~25 km).

     

Les fortes pluies de ce début d’année nous avaient déjà interpellées, tant la quantité d’eau était impressionnante. Des patelins à peine connus ont presque disparus sous les flots dévastateurs de cette nature déchaînée à ses moments perdus (j’crois que je déconne là…).
Enfin, Après un bref mais correct petit casse-croûte, nous nous dirigeons vers la nouvelle entrée de cette petite rivière, qui se situe à environ 4 ou 5 km de la résurgence.
Nous approchons en voiture de la zone de stationnement (parking chez les anglo-saxons !). Autant dire qu’à ce moment, et rien qu’à la vue de l’état des champs environnants, la rivière souterraine en question était totalement submergée par l’eau. Les champs forment un profil drainant qui accumule toutes les eaux de ruissellement vers la rivière souterraine.

Malgré une très faible altitude et un faible relief, cette rivière est sensible aux pluies. Pour le moment, nous ne sommes pas équipés de bouteille de plongée. De toute manière, les seules bouteilles que nous possédons sont encore pleines et toujours dans le coffre des bagnoles (bien au frais !).
En fait, les champs étaient sous 50 cm d’eau. Quant à l’entrée artificielle, la base du puits était sous 3 mètres d’eau. Bref, on a fait un petit tour de voiture (~330 km) pour se détendre l’esprit.

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1820

11-03-2000 Carrière souterraine de Trogues

https://www.facebook.com/CRAD37

 

11-03-2000 Carrière souterraine de Trogues

TPST: 2 h /

Angélique – Alexandre – Nicolas – Dauby – Chbonx – Naïma

Désolé, mais là, je ne pourrai pas vous raconter, je n’y étais pas. Dommage !

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1822

26-02-2000 Igue de St Martin – Reilhac (igue de Pouzat)

https://www.facebook.com/CRAD37

26-02-2000 Igue de St Martin – Reilhac (igue de Pouzat)

TPST: 8 h 30 /

Groro – Dauby – Pétouze – Chbonx – SCT

Une riche idée nous a conduit à faire un week end de partage entre les deux clubs du département de l’Indre & Loire : Le bien nommé Spéléo Club de Touraine et l’extraordinaire club de spéléo inter-planétaire: le CRAD.

004Nous sommes tous arrivés dans la nuit du vendredi soir, et nous nous sommes rencontrés le soir même dans le gîte du SCT. Relations réservées dans un premier temps (quand on n’est pas encore intimes… voyez un peu…), puis réchauffées autour de quelques gouttes de pinard, les langues se délient et le dialogue spéléo s’installe.
De notre côté nous avons dormi dans notre repère habituel, dans la maison qu’est dans le sous bois, près des bêtes. Samedi matin, l’équipe se lève et se prépare; ce n’est pas la furie des grandes courses, et l’odeur de la bête qui se repose se fait sentir, il est alors temps de se ventiler (tant les entrailles que l’extérieur). Nous arrivons à pied d’oeuvre, bien sûr, j’ai oublié quelque chose, mais quoi ? Réfléchissement intense, à la limite du claquage de neurone; TILT et RE-TILT !!! Comment descendre dans un gouffre sans baudrier ? J’ai donc rassemblé des morceaux d’étoffes récupérées ça et là, et j’ai tricoté un baudrier avec des longes et des pédales. Pendant toute la sortie, j’ai pu constater combien c’est SEXE de se fabriquer son matos soi-même. En cas de chute, on ne peut s’en prendre qu’à soi-même, et pis c’est tout !

pouzat006
La sortie était extraordinairement et exagérément longue, au point d’en avoir raz le casque. Pour un trou de 127 m, mettre 7 h 30, c’est un peu long, non ? P’être que les gars étaient vraiment pas pressés, ou pas du tout au point ? Va comprendre Charles ?

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1812

05-02-2000 Initiation Gratte Chèvre / Saulnière

https://www.facebook.com/CRAD37

05-02-2000 Initiation Gratte Chèvre / Saulnière

TPST: 7 h 30 /

Dauby – Groro – Chbonx – Pétouze

Désolé, mais là, il ne s’est rien passé de particulier, si ce n’est que l’on a pu enfin, récupérer notre bidon de carbure (commandé l’année dernière) !
Au point de vue de la spéléo, me direz-vous, on a amené des scouts en short sous la terre… Pour ma part, je n’avais encore jamais vu des jeunes aussi mous et aussi handicapés sous terre.
Je ne sais pas si c’est l’allure de l’adjudant colonel Dauby, ou bien encore le Chbonx, Groro ou Pétouze, mais il a fallu pratiquement leur prendre la main pour qu’ils affrontent des petites difficultés.

Nous sommes descendus dans Gratte Chèvre, mais nous nous sommes arrêtés bien avant la fin du réseau.
Pour Saulnière, le départ du réseau leur a fait peur, même en voyant nos gabarits passer par ce petit trou. Dans ces conditions, comment faire pour les rassurer ? Peut-être les pousser un petit peu au c…
C’est tout ce qu’on a pu faire avec eux, puisque le dimanche matin, les guerriers étaient tout fatigués de l’aventure de la veille (!?!). C’est comme ça, et pis c’est tout !

 

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1810

01-11-1999 l’Event des jonquilles

https://www.facebook.com/CRAD37

01-11-1999 l’Event des jonquilles

TPST: 6 heures /

Roro – J’en Pète

Après un départ sur les chapeaux de roues, en partance de Castel trou city, nous arrivons 2 h 00 plus tard à côté de Brives. Bon, vu qu’il était midi, nous avons jugé bon de nous ravitaillé au resto du coin, dans cette petite cité du sud.
Forcément, y avait plein de monde au self, comme si ils avaient présenti notre arrivée. Par timidité sans doute, nos adoratrices ne nous ont pas sautées à la gorge pour nous arracher des autographes, mais juste notre carte bleue pour payer.
Les photosEnsuite, on a repris notre interceptor inter-galactique spatio-temporel à propulsion au fioul pour gagner les contrées austères de cette Corrèze encore méconnue. Après le tunnel autoroutier A20, vers Nouailles, on monte sur le coteau, on gare l’engin sous les branches protectrices des séquoias séculaires qui peuple cette forêt vierge. Avant tout, il est prudent d’arborer fièrement nos tenues de gladiateurs du 21ème siècle sous le regard encore incompris des bêtes de la forêt. Après quelques minutes de marches, on trouve l’orifice, caché derrière une plaque d’égout (même pas fumant, mais plutôt fumeux). L’équipement du départ du puits est quelque peu chiant; aucun point d’ancrage à proximité, tout juste un arbre ou deux (même pas des séquoias). Le puits est artificiel sur 4,50 m, on rentre dans un tonneau métallique sans fond. Puis, on touche enfin la roche, c’est étroit, et il fait tout noir là dedans. On franchi rapidement le dernier fractio d’une vingtaine de mètres, pour toucher enfin le fond. Il fait bon en bas, et c’est tout sec.
Au premier coup d’œil, c’est déjà super, c’est grand et c’est joli.
On marche vers l’actif, escaladant des gours vides, et s’arrêtant pour figer l’instant sur de la pellicule photo. Décidément, ce tuyau via le Net était loin d’être foireux, y a pas la technologie a des bons côtés; nous n’aurions pas eu ce tuyau aussi facilement par courrier manuscrit. Merci encore à http://perso.wanadoo.fr/thierry.maillard/.

 

Lien Permanent pour cet article : http://lecrad.free.fr/?p=1526