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Ariège (09) – L’étang de Comte (Merens-Les-Vals) 42.647797, 1.812386 alt.:1450 m : TPAM*: 4h00 (Temps Passé À Marcher)
CRAD : Élise et Titi 📽 La vidéo est en cours📽 |
Nous partons de bonne heure vers 10 h plein d’entrain et avec un soleil si profond que les lunettes de soleil sont de circonstances. Après les 17 minutes et 35 secondes de route, nous entamons la piste forestière de Lubac. Nous montons et après quelques kilomètres, la piste revêt son blanc manteau. Mais grâce aux pneus hiver et la conduite expérimentée du mono; la montée se déroule sans soucis et avec précision. Le parking est aussi tout blanc et après nous être équipés, nous entamons la montée vers le lac.
La neige craque sous nos pas et nos chaussures de randonneurs; Titi n’a par ailleurs pas revêtu son short des neiges mais son pantalon long et polaire (il fait quand même 0° au début). Nous suivons la trace du randonneur précédent et de son fidèle compagnon. Nous continuons sous un soleil éclatant jusqu’à la jonction avec le GR 10, plusieurs poses photos sur le trajet car la vue est a couper le souffle en ce lendemain de tempête de neige. Nous progressons sans difficulté et profitons d’une petite pause afin de nous dévêtir d’une partie de nos équipements. Elise en profitera pour remplir son MAGNIFIQUE sac à dos tout neuf très «girly».
Nous atteignons enfin le lac au bout de 310 m de dénivelé; le panorama est magnifique avec la neige et nous profitons de cet intense moment afin de se sustenter et faire un petit vol de drone avec la précision du mono (c’est pas le fruit le plus mûr de l’arbre). Nous reprenons notre balade en réalisant le tour du lac. Plusieurs cours d’eau nous porterons préjudice en mouillant quelque peu nos godillots. Nous retrouvons le chemin de l’aller que nous suivons en parallèle car la neige c’est bien. Mais le soleil a transformé celle-ci d’un état solide à l’état liquide (cours de 4ème).
Le chemin de retour se transforme en rivière et les feuilles humides cachées nous permettent de faire quelque glissades. Ce retour se conclue donc par un parcours digne des bouquetins agiles pyrénéens (les isards, paraît que ça se nomme comme ça, dans le pays). La neige aura complètement fondue sur la première partie du chemin.
Retour sous 12° vers notre camp de base et un beau soleil et quelques couleurs prises lors de cette randonnée.