spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée

22 août 2020 – le Tapoul & traversée de Bramabiau (48 & 30)

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Lozère (48) & Gard (30) – 22 août 2020 – Canyon du Tapoul & Traversée de Bramabiau

CRAD : Élise, Denis et Roro
SCC : Jérôme
TPST : 2h00

Coordonnées Tapoul : 44.185994 , 3.580222 , 830 m – Classement : v3-a4-I
Coordonnées Bramabiau (départ perte du bonheur) : 44.117969, 3.479345 , 1080 m

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Un petit coucou de Dédé

Dernier week-end des vacances et une petite escapade en Lozère, histoire de faire connaissance avec le Tapoul et de réaliser la traversée de Bramabiau.
Pour le Tapoul, nous avons retenu l’option “saut”, avec un groupe de 4, cela permet d’avancer à la bonne vitesse. Bien que, il faut le reconnaître, le dernier grand pas avant le vide, demande un peu de temps et de préparation.
Avec la navette, qui vous dépose et vous récupère à la fin de la course, il faut reconnaître que c’est franchement mieux que le canyon d’Agols.
Une fois sortis du canyon, nous avons grignoté avant de repartir vers Bramabiau. Nous obtenons l’autorisation de traverser à partir de 18 heures. En attendant, Elise fait la sieste et nous faisons une partie de boules avec Denis. Si l’entame fut âprement disputée, (5-5), Denis s’écroule par la suite et laisse échapper la victoire. Score final 13-5.

C’est bon, il est maintenant l’heure de se préparer pour la traversée. Direction le parking des touristes, nous nous équipons et nous partons pour le Bonheur.
La traversée est toujours aussi intéressante, escalade, nage, descente sur corde, corde coincée, re-escalade, poursuite de la course, puis sortie par la porte…qui est cadenassée !!! Là, nous nous sommes regardés, puis en observant nous trouvons la clé du cadenas. Le plus difficile fut de refermer derrière nous.

La traversée laisse des traces…..
Ensuite, marche de retour, et grosse suée. Arrivés au camion, devant la stèle à la mémoire d’EA MARTEL (Dédé pour les intimes), j’entame une conversation avec le père de la spéléo, et je lui présente aussi mes plus plates excuses pour lui montrer mes fesses au moment de me changer… Eh oui, la spéléologie n’est plus ce qu’elle était mon pauvre Dédé.

Ah, sacré Dédé, quel déconneur quand même…

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