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17 octobre 2020 – Jolie balade sur le dos du Causse Méjean

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Aveyron(12) – 17 octobre 2020 – Randonnées VTT sur le causse Méjean
CRAD : Roro & Poulpi

44 km pour 720 m de dénivelé – Temps Passé Sur Bicyclette = 4 heures

L’aut’jour, nous avons décidé de nous retrouver en terra incognita chez les 1 2. Ça faisait bien longtemps que l’on avait pas vu des 8 2, mais comble des complications, Roro avait une assemblée générale élective chez les palmés.

Les 8 2 sont arrivés dans les heures normales, avec le gâteau qui va bien histoire de finir le repas avec la mousse aux fruits au bord des lèvres.
Bon, le Roro n’arrive pas de bonne heure, vu que son assemblée de palmés le reconduit à la présidence, mais fort heureusement, la crise sanitaire interdit le repas du soir à l’issue de l’assemblée.
Voilà donc le Roro qui arrive vers 22 heures, et qui rejoint les 8 2 autour des quelques bières qui subsistent, c’est à dire pas grand-chose. Bon, un petit tour dans la cave et nous voila approvisionnés. Nous festoyons tardivement, et nous évoquons l’expédition du lendemain.
Alors là, il faut bien le dire, le Roro avait pris un sacré coup dans le goniomètre, la cavité est certes intéressante, mais oblige un voyage à travers le temps.
En plus, le soir les deux gârs ils refont le monde jusqu’à pas d’heure, bon, c’est pas facile non plus de refaire le monde, mais jusqu’à pas d’heure…tout de même.
Tôt le matin, enfin, vers 10 heures les gens se lèvent. Le temps de préparer le déjeuner et de se mettre les yeux en face des trous, à 11 heures, les voilà partis. Domi a déclaré forfait pour l’expédition du jour.
Le gonio complètement ensablé, nous traversons l’Aveyron d’ouest en Est, pour nous retrouver sous la pluie dans le pays lozérien. Les 2 heures de route auront eu raison de la motivation. Nous prenons quelques photos de l’entrée du gouffre, que nous avons trouvé, et nous reprenons le chemin du retour. Enfin, pas tout à fait le même chemin, nous redescendons par Meyrueis, Rivière sur Tarn…
Tant et si bien que nous voilà à notre point de départ, vers 16 heures. Nous avons tout de même pris le temps de préparer un banquet pour la soirée.
Le dimanche, après le petit déjeuner les 8 2 s’en retournent dans leur contrée.
Comme il n’était pas trop tard, Roro enfourche son bigadin pour faire une nouvelle fois son parcours des 3 châteaux.
Nous sommes déjà vendredi, nous avons calé un WE en Lozère pour pédaler sur le dos du Causse Méjean. Nous devions nous retrouver à 4 chez le Sieur Pralong à Hyelzas. J’ai réservé le gîte depuis le 8 septembre, il n’y a plus qu’à…
Notre groupe fond à vue d’œil, Domi déclare forfait pour raison médicale, Chonchon souffre des cervicales et ne viendra pas .
Nous nous retrouverons donc à 2 à Hyelzas pour une virée à bicyclette sur le dos du Méjean. J’arrive le premier sur site, mais je trouve tout le bâtiment plongé dans l’obscurité. Je m’empresse d’aller sonner chez le Sieur Pralong, mais personne ne me répond. Je saisis mon téléphone, et j’appelle notre hôte.
Ce dernier me dit : « Une réservation ? Ah bon, ah non, je n’ai rien noté… » Bon, vous pouvez coucher dans le grand gîte ce soir, mais demain vous devrez partir de bonne heure, car le gîte est réservé pour un groupe… »
Bon, nous avons au moins un lieu où dormir ce soir. Poulpi arrive dans la 1/2 heure qui suit. Nous sortons au moins de quoi manger, et pour faire comme tout le monde nous avons prévu raclette. C’est bien, nous faisons cuire les patates, puis nous mettons l’appareil en chauffe… C’est d’ailleurs la seule source de chaleur dans la bâtisse…Enfin, jusqu’au moment au le disjoncteur saute, nous réenclenchons et le poêle à granulés se mette en route.
Le lendemain, réveil à 8 heures, petit déjeuner vite préparé et avalé, puis pliage rangement de tout notre barda. Nous partons sur le point de départ de la course de la journée (44 km pour 720 de dénivelé).
Il fait un temps agréable et le site est majestueux. Nous avançons avec un bon train, interrompant notre progression pour ouvrir et refermer les 239 barrières, accélérant le rythme lorsque les chiens s’amusent à tenter de nous choper le mollet. Nous avons forcer le rythme au moins 5 fois poursuivis par des clébards de taille et de dentition fort variable. Ensuite, quelques poussettes, un peu de marche pour se dégourdir les jambes, et après 4 heures passées sur les hauteurs du Méjean, nous retrouvons les véhicules.
Une très agréable sortie, écourtée et c’est dommage, mais le parcours est très agréable et facile malgré quelques séances de poussage.

 

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1 Commentaire

    • Pascal sur 14 décembre 2020 à 8 h 12 min
    • Répondre

    Bonjour,

    Belle région au-dessus de laquelle j’aimerais voler.

    Merci.

    Pascal

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