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Dordogne (24) – 23 octobre 2021 – Perte de la Reille (Nailhac) CRAD : JiPi, MCi Perte de la Reille : 45.218595 , 1.135468 – TPST = 3h00 – 📽 Pas de Vidéo pour cette fois 📽 |
Deuxième petite visite de la perte de la Reille.
Il faut bien l’admettre, il faut bien s’adapter aux imprévus.
Nous devions faire une visite dans la grotte de la Millette à côté de Nailhac, en Dordogne. Il s’agit d’une rivière souterraine de 4,500 km de développement annoncée et aux 40 ressauts selon les dires de Madeleine BELIGARD.
Nous avons tout de même assuré le contact avec la femme du défunt propriétaire, Daniel BELIGARD.
Daniel est décédé fin août, et il faut du temps pour s’en remettre et reprendre le cours de la vie.
Nous avons donc opté pour une nouvelle visite photographique de la Reille, pas très loin de la Millette.
L’objectif de la journée : faire des photos dans la grande salle, avec le RÉFLEX. Oui, on peut dire que c’est classique, mais non dans l’fait !
Nouveau pied à base carbone, nouveau conditionnement des flashs et du réflex, et du coup une réduction de poids ramené à 4,100 kg à peine (poids du kit compris). L’est trop fort, le pépère !
Bon, pour la Reille, c’est toujours pareil, il faut remplir le cahier du CDS 24 à l’auberge « LE GRAND CODERC » à Saint-Rabier, et puis ensuite faire la visite sous terre.
Attention, le parking pour la Reille se situe là (45.219548 , 1.135028) et non ici (45.217889 , 1.135221). Ce dernier point indiquant un terrain privé.
La progression est toujours la même, mais aujourd’hui, nous avons vérifier que les réparations sur l’accus de la lampe à Marie étaient parfaitement opérationnelles. Oui, ce n’est pas facile de souder des accus 18650 avec des fils en plus et un connecteur tout rikiki. La progression est assez rapide pour nous, mais c’est Marie qui ouvre la route. Quand c’est bas de plafond, et que le taille de l’individu y est compatible, on avance plus facilement. Bon, il faut l’avouer, que quand c’est très bas de plafond, c’est chiant aussi. Les passages humides se font sans encombres, et ce d’autant, que Marie est passée en oppo plutôt qu’en mode amphibie.
Mais ce n’était pas sans compter sur la présence du tee-short de trop sous la combarde à Marie : J’AI TROP CHAUD, JE PÈTE ! Du coup, suppression du tee-short de trop en cours de parcours.
Nous arrivons à la grande salle. Les prises photos s’enchaînent, ça déchire grave – j’dis ça, c’est pour soutenir l’attention du lecteur qui s’attend au pire… Bon, en fait, Marie commence à avoir froid – y a des jours comme ça, où j’ai du mal à suivre. Petits casse-croûte « spéléo sport » et rangement du matos photo dans son kit. Nous n’irons pas plus loin, trop froid maintenant dans la combine à Marie. Le retour permet le réchauffement et hop, c’est déjà la sortie, sous le soleil.