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Lozère (48) – 28 décembre 2021 – Aven de la Barelle (Meyrueis) CRAD : Roro Aven de La Barelle : 44.21606, 3.38126 – TPST = 3h00 |
Petite escapade lozérienne, en cette belle journée de fin décembre en compagnie des copains du SCC (Spéléo Club des Causses). Nous avons arrêté notre choix sur la Barelle, c’est facile, c’est pas trop loin et en plus c’est joli. De surcroît, Mélanie et Cédric ne connaissent pas. Nous voilà donc partis, j’ai préparé les kits pour les premiers puits, et Cédric a prévu la suite pour le grand puits. Nous nous retrouvons de bon matin à Millau, nous chargeons la voiture et nous voilà partis.
Même en partant de Millau, la route est longuette, mais bon, bon an mal an, nous arrivons et nous nous garons sous les arbres. A peine les portières ouvertes, nous essuyons les rafales d’un vent très soutenu et un peu frais. Ce petit vent nous accompagne lorsque nous nous équipons, frais… vraiment frais…
Chacun son barda, chacun sa vitesse, et finalement, Christophe s’aperçoit qu’il a oublié son baudard ? ? ? ? ? Forcément, ça marche beaucoup moins bien, comme dirait l’autre… Réfléchissement, personne n’a de baudrier de secours, forcément….réfléchissement, et finalement, nous partirons pour les premiers puits, à 4 avec 3 baudriers. Il suffira, de remonter le baudard à chaque puits, évidemment, la descente avec le passage de vire du P33, n’est plus au programme.
Nous voilà donc partis, pour la descente qui va bien. Arrivés en bas du second puits, nous rencontrons une grosse concentration de chauves-souris, et nous découvrons le passage vers le nouveau réseau de La Barelle, mais ce sera pour une autre fois. Nous avançons vers le départ du P33, puis nous prenons le chemin du retour.
Il y avait beaucoup d’eau, ça ruisselait de partout, une petite cascade s’est formée au dessus sur P33, nous l’apercevions de loin, et nous étions heureux de ne pas allés nous doucher.
La remontée s’est bien passée, Cédric monte, déséquipe son baudard, le redescend à Christophe, finalement, ça se fait, mais ce n’est pas très pratique dans l’fait.
Une fois tous à la surface, nous retrouvons le vent et nous rentrons pour le casse-croûte. Une sortie qui donne des idées pour de futures sorties.
