Aveyron (12) – du 14 au 17-05-2015 TPST: Au global… Pas mal tout de même! CRAD : Élise, Marie, Domi, Charlotte, Sylvain (Winnie), Cyril (Jean-Paul), JiPi, Chonchon et Roro |
2ème journée : Nage en eaux vives
Le lendemain, nous avons inscrit au programme, VIA FERATTA et NEV. La météo qui se jouait un peu de nous, nous a privé de la VIA. En effet, la pluie s’est invité à notre WE, et nous n’avons pas voulu prendre le risque de progresser sur des barreaux mouillés et transformer le WE en galère.
D’ailleurs, la galère a en commun avec notre WE, la présence indispensable de l’eau. Nous arrivons donc à Millau en fin de matinée. Nous passons récupérer tous les équipements, pour une séance de massage avec bulles et courant.
Petit brief sur les règles de sécurité, petit repérage du bassin, le tout sous la pluie. Nous sommes bientôt prêt, mais le Monsieur du Bassin est parti manger. nous sommes complètement concentrés en train de poireauter sur les rives.
Cette attente permet aussi de passer les dernières consignes « alors mon p’tit baleine… »
Bon, après un certain temps, nous nous lançons à l’eau.
Passer le petit moment de contact avec l’élément liquide, pas trop chaud, nous commençons notre petite progression.
La NEV (Comprenez Nage en Eaux Vives) c’est un peu comme le patinage artistique, il y a des figures imposées, mais contrairement au patinage, les filles ne veulent pas nous montrer leur culotte et leurs guibolles. Il n’empêche, la première chose à acquérir c’est la manœuvre de son flotteur, nous nous retrouvons donc à faire des ronds dans l’eau.
Le principe élémentaire repose sur l’ANTICIPATION et la position sur le flotteur. A ce moment, tout le monde prend ses marques et le sourire éclaire les visages.
Une fois réalisés les petits tours avec le courant et le contre-courant, nous allons maintenant affronter Monsieur Courant, dans la figure du BAC. Cela consiste à se positionner face au courant, en inclinant le flotteur de 45° en palmant comme un fou furieux. de cette manière, la force exercée par les gros cuissots du plongeur, lui permet de traverser le plan d’eau. Attention, le départ doit se faire face au courant et il faut remonter au plus haut pour sortir « pas trop bas ». Lorsque le nageur palme comme un fou furieux, il ne doit pas oublier la première leçon sur l’ANTICIPATION.
C’est dans l’exercice du BAC, que Marie, qui s’ennuyait certainement, c’est fait embarquer par le courant. Monsieur Courant est très joueur, si vous ne prenez pas le dessus, il vous embarque…
Bon, une fois récupérer tout le monde, nous travaillons cette autre figure délirante, « la TRUITE ». Il faut « poser » le flotteur sur l’écume du seuil (la petite cascade) et ensuite se reposer. Normalement, c’est facile, bien qu’au début ce ne soit pas vraiment évident.
Une fois que l’on maîtrise la manœuvre, cela devient vite un jeu d’enfant, et comme les enfants sont joueurs, nous pouvons débuter la séance de flotteur-tamponneurs.
les figures alternent avec les figures, les éjections fortuites ou contraintes, déclenchent toujours autant de fous rires. Et après presque 3 heures passées à barboter, nous déclarons la fin des hostilités. Nous nous accordons une petite visite du Viaduc », avec un vent à décorner les bœufs et nous rentrons à la maison.
2 Commentaires
La truite, la truite… t’as vu les tailles des truites ?
Pour la nage en NEV, faut dire que la puissance dans les jambes, c’est pas trop mon fort, mais je vais persévérer foi de « dit Charlemagne ».
En tout cas, c’était super! Je me suis éclatée quand même.