spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée

6 mars 2019 – Cocalière-Cotepatière (Ardèche)

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Ardèche (07) – 6 mars 2019 – Cocolière-Cotepatière

CRAD : Élise, Titi, Poulpi, Marie, JiPi et Chbonx

TPST : 3 heure 30 Accès à la vidéo  
Fiche détaillée : cliquer ici
07460 Saint-André-de-Cruzières
Coordonnées : 44.320032 , 4.183871

la Claysse souterraine (complexe Sauvas – Peyrejal – Cocalière)

Au matin du quatrième jour, le programme est à la détente. Roro Cassé, Domi rangée, le reste de l’équipe toujours motivée à s’engouffrer sous terre. Nous décidons d’aller faire une visite dans la Cotepatière et de suivre dans la Cocalière. La météo nous a abandonné pour aujourd’hui et c’est donc sous une petite pluie que nous allons affronter les risques de crues. Ce réseau est en effet connu pour ses crues subites et rapides qui se caractérisent par les divers débris collés au plafond du réseau. Même pas peur, nous maintenons le programme. Une fois équipés, nous croisons des autochtones qui cherchent encore l’aven de la Cocalière. Poulpi nous accompagne jusqu’à l’entrée du réseau – on dirait qu’il serait bien resté pour faire cette petite visite souterraine avec nous.

La pluie reste fine pour finir de ne pas nous empêcher de faire cette visite sous terre. Enfin au sec, sous terre nous commençons la visite au pas de course. Trois clics, un clac et quelques prises vidéos plus tard, et nous arrivons à proximité du lac Gaupillat. Titi veut absolument voir le bateau et Chbonx l’accompagne jusque-là. Cet à ce même endroit que les premiers spéléo en 1892 s’arrêtèrent.

Durant la progression, nous avons testé notre nouvelle lampe à LED. C’est sans conteste, un système efficace qui permet de se repérer dans le noir absolu.

 

 

 

 

ATTENTION :

Ces réseaux se caractérisent par une mise en charge très rapide et dont la violence est attestée par les débris que l’on peut y rencontrer en piteux état : pneus de camions, troncs d’arbres coincés en hauteur, fûts métalliques.

Le pont en pierre de la RN 101 qui domine le site de Sauvas d’une dizaine de mètres remplace un pont en bois qui était périodiquement emporté par les crues, et il ne s’agit que du trop plein que la Goule ne pouvait absorber.

ATTENTION donc à la météo à son sujet , II vaut mieux, si le moindre doute subsiste s’abstenir ou tout au moins ne pas s’attarder, surtout dans Peyrejol « artificiel » qui présente un développement important et est par endroit labyrinthique.

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