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Lot (46) – Igues des Brantits (Caniac du Causse) CRAD : Marie, Jipi, Domi, Roro, Titi, Zinzin et Élise Brantits 1 & 2 : 44.643618 , 1.662715 & 44.644829 , 1.661916 |
Nous nous retrouvons au gîte dès le vendredi soir, l’arrivée des 8 2 et des 1 2 est synchrone, et à 19h30, nous sommes installés. Début du briefing, jusqu’à 21h30, heure à laquelle, le reste de la compagnie arrive sur place. Nous reprenons le briefing pour le lendemain. Au programme du lendemain, nous descendrons dans Brantits I pour l’équipement et Brantits II pour la visite.Pour le I, les grisous s’y colleront, pour le II, les « moins vieux » s’y attelleront. Ah, fichtre, c’est bête, y’a pas de ficelle pour descendre le grand puits ????
Allez, faut fouiller dans les affaires des grisous, ils ont souvent de bonnes idées, et possèdent l’expérience de la préparation des sorties, chouette, y’a une grande ficelle qui fera bien l’affaire.
La soirée se termine et tout le monde regagne sa cagnas et Sydney sa bannette pour la nuit.
Samedi 9h30, ça bouge. Préparation du petit déjeuner, un petit regard vers le dehors, le sol est gelé. Ça change de la pluie des semaines passées.
C’est OK, tout le monde est prêt, nous partons sur site. Nous arrivons devant le chemin d’accès au champ, c’est étrange, il y a un panneau « route barrée », allez allons-y. Le chemin est mou, nous arrivons devant l’entrée du champ, JiPi descend, ouvre la barrière, et j’engage le camion. Je manœuvre pour faire un petit demi-tour , le sol est…spongieux. Ça avance, j’effectue le demi-tour et je reviens sur mes pas, et là…. Ben là, ça patine… Je recule, je reprends de l’élan, je repars à l’assaut de la petite cote… ça patine, je recule, mais là, ça patine même pour reculer… Là, le pare choc touche presque le sol, il faut faire la pause. Poser des branches, des pierres et arracher le camion à la boue. Allez, encore un effort… ça marche, le camion s’arrache et je manœuvre par un audacieux contour pour me garer devant la barrière à l’entrée du pré.Place maintenant à l’activité de la journée. Les grisous (JiPi et Roro) au I et les « moins vieux » (Élise, Titi et Zinzin) au II, et Sydney restera avec les grisous.
Chacun dans son coin réalise son petit programme. Que l’accès est agréable de ce petit puits du I, les genoux bien râpés avant de trouver la verticale du puits.
Début d’après-midi, fin des activités, cela tombe plutôt bien, nous sommes cernés par les chasseurs qui organisent une battue. Nous nous changeons, puis après un démarrage patinant, le camion parvient à s’extraire de la gangue de boue. Retour au gîte, casse-croûte et soirée quiche et layon (merci Titi), puis un petit Baileys (merci Domi).Le dimanche commence sous la gelée – 5°C au thermomètre, alors que l’an passé c’était – 12°C à la même époque, et après ça, y’en a qui douterons encore du réchauffement de la climatique
1 Commentaire
Ça faisait longtemps qu’on avait pas planté un camion dans le Lot, sur un sol boueux…