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15 avril 2024 – Col de Pailhères vers l’étang noir

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Ariège (09) – Col de Pailhères (Ascou)

42.733345, 1.987244 – TPAM* : 1h50 (Temps Passé À Marcher)

CRAD :  Élise, JiPi, Marie et Titi
📽 La vidéo est en cours📽

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Nous partons de bonne heure (9h30) afin de trouver une pharmacie et l’office du tourisme sur Ax-les-Thermes. Nous reprenons, après nos achats, vers le Col de Pailhères.  Après quelques boucles routières et le panneau d’accès au col mentionnant un incompréhensible mot, nous arrivons au parking.

Le fond de l’air est frais et la visibilité plutôt restreinte à 1936 m. Nous partons avec une volonté forte, les capuches bien remontées. Le chemin commence par des congères de neiges plutôt craquantes sous nos chaussures. Nous allons alterné congères/chemin tout au long du cheminement. Nous convenons de ne pas prendre le chemin des crêtes qui parait dangereux, au vu de la météo (ça reste un GR et le vent est fort).

Nous bloquerons devant une montée très enneigée, seul Titi fera l’ascension pour voir au-delà. Les filles ferons un peu de luge afin de passer le temps. La suite étant plus scabreuse que la précédente, Titi fera demi-tour pour retrouver ces compagnons. Grâce à son short des neiges, il reviendra à la vitesse de l’éclair avec les chaussure humides.

 

Nous revenons sur nos pas avec un vent latéral bien fort et une température qui baisse.
Retour au camp de base afin de se restaurer et de réaliser une petite randonnée dans la vallée vers le village d’Orlu pour finir la journée.

La journée se conclue par l’expression « T’es pas la chips la plus croustillante du paquet ! »

Vu par JiPi, ça donne ça :

La petite fleur nous regarde d’un air étonné…

Nous démarrons de bon matin, sous un léger couvert nuageux. La route est sinueuse, mais c’est normal, c’est la montagne. Au bout d’un moment, des panneaux le long de la route indiquent des trucs incompréhensibles : INTERDIT. Certes, dans l’air du temps, mais les barrières sont levées, alors, on y va. Arrivés au niveau du parking, point de police, ni de gendarme et un terrain largement dégagé. Température extérieure : 10°C – c’est frais, mais c’est la montagne.
Pour cette rando, le choix de l’équipement pour la progression se porte sur le short pour Titi. Le Titi en short dans la montagne, ça le gagne ! On sent bien que la neige est encore là, mais bon, nous ne sommes pas des trouillards. Nous démarrons avec une bonne allure, les premiers passages enneigés sont traversés sans encombre. Ça devrait le faire… mais peut-être en mai ou juin, finalement. Nous optons pour suivre uniquement le GR07b plutôt que de suivre les crêtes.
Par endroit, nous enfonçons le ripaton au point d’atteindre le mollet mignon et de mouiller le pied mignon.
Nous avons tout de même croisé un groupe de jeunes équipés de manière très légère partant à la conquête des pics en chaussures légères et vêtements légers ; comme quoi, la fraîcheur du mois d’avril n’arrête pas le pèlerin.

Le panorama un peu bouché par les nuages au-delà de 2000 m. Nous arrivons au point de la première étape : ça passe. Nous avançons encore, le premier petit lac est gelé, mais bon, on peut encore pousser.
Par moment, le ciel se dégage et nous permet d’apercevoir un coin de ciel bleu et la neige qui recouvre le reste du parcours.
Titi le héro insiste et gravit le premier névé ; c’est beau un Titi en short sur la neige. Pendant ce temps là, Marie et Élise ont opté pour une séance de luge. C’est plus ludique mais plus adapté à la situation. Je crois qu’il faut se résoudre à faire demi-tour, nous n’avons pas les pneus « neige » pour la suite. Arrêt pour causse de neige à 2100 m.
Retour vers le parking. La progression se fait de plus en plus dans le brouillard. La température est descendue à 7°C ; on fait bien de descendre aussi.

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