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12 septembre 2020 -2 Plongées au RESSEL (46)

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 Lot (46) – 12-09-2020 – Plongée souterraine au RESSEL

CRAD : Roro & Lulu
TPST: 2h00

Ressel : 46160 Marcilhac-sur-Célé – Plan
Coordonnées : 44.561923 , 1.771954  📽 Accès à la vidéo 📽

Cela faisait une éternité que nous n’avions pas sorti le matériel. Nous nous retrouvons donc aujourd’hui au RESSEL. Peu de monde, alors que durant tout l’été c’était la foule. Pour la reprise nous nous fixons la petite boucle comme objectif, une fois dans un sens, puis une seconde fois dans l’autre.
2 rotations (23 mètres pour 53 minutes puis 22 mètres pour 56 minutes). J’ai testé le side mount, parti léger au départ, je remonte comme un bouchon en fin de plongée. Quelques réglages seront encore nécessaires.
Un repas diététique, avec de la terrine à 0 %, de la saucisse à 0 %, du fromage à 0 %, une bière à 0 % et une tomate qui devait au moins contenir 5 % de matières grasses.

Il en va de la plongée souterraine comme du sexe, cela fait appel à la psychologie, à quelques équipements, à des préliminaires mais aussi à une certaine variété, et je le confesse, à une pratique monstrueusement tarifée. Mais que ne ferions-nous pour éviter l’ennui.

La première similitude, entre ces deux activités humaines, tient dans le psychologique⋅. Pour plonger, comme pour un petit voyage au septième ciel (non, Jipi, on ne parle pas dronique), il faut être dans de bonnes dispositions. Et depuis la crise-guerre de COVID, croyez-moi, c’est pas facile d’être en de bonnes dispositions. Un coup (si je puis m’exprimer ainsi), tu n’as pas le droit de sortir, un autre coup, tu dois rentrer dans ta maison avant 18 heures…. La chose plongistique n’est pas aisée, mais nous parvenons tout de même à nous arracher de l’ambiance désespérante pour nous retrouver avé Lulu sur le bord de l’eau.

La plongée souterraine, comme le sexe, nécessite aussi de multiples préliminaires (¹), et notamment une bonne préparation, un peu longue et très minutieuse. Pikachu a troqué son pyjama jaune, contre de belles palmes de la même couleur. Avec d’aussi belles chaussures, nous allons aller très loin, peut être en prenant plus de temps. Mais qui disait, plus c’est long… ?

Pour l’équipement, c’est une véritable aventure, certes, un peu moins poétique, mais nous sommes de fervents adeptes de la sous-cutale, des petits élastiques là. Et, que dire de ce bobino de ficelle, que tu emmènes partout et que tu peux utiliser à tout moment. Et nos corps sculptés dans le néoprène ou la toile de nos combinaisons et de nos cagoules(²)….

Pour notre sortie, nous avons décidé de varier les plaisirs, après la méthode traditionnelle, les blocs montés sur le dos, bien comme il faut (le missionnaire de la plongée souterraine en quelque sorte), je me lance dans le SM(³).. Je vois votre regard égrillard s’éveiller, mais entendons-nous bien, il s’agit de la méthode SIDE MOUNT. Les blocs sont fixés sur le côté, tu gagnes en épaisseur, et tu deviens plus hydrodynamique.

Deux plongées sous terre et dans l’onde claire, autant que nous l’autorisait la règle du COVID. Pour finir je vous invite à pratiquer le sport que vous sentez à portée de votre bourse…

(¹) : Le coup de la migraine, tu vois ce que je veux dire …
(²) : les détails d’avant, tu ne vois pas ????
(³) : hop, hop, hop, on ne s’emballe pas, il s’agit de néoprène pas de latex….

Les images sont de LUlu.

 

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