spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée

6 mars 2021 – Initiation Grotte de Marut & Saut de la Pucelle (46)

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Lot(46) – 6 mars 2021 – Grotte de Marut (Théminette) – Saut de la Pucelle (Gramat)

CRAD : JiPi, MCi , Tornade


Grotte de Marut :  44.713067, 1.842267 – TPST = 1h20

Au départ, l’idée était de faire une bonne initiation dans Marut, donc, pour faire bien, on amène le drone. Décollage de la maison à 10h00, c’est normal, on n’est plus des bêtes, non plus.
Les cordes sont chargées, les mousquetons, les sangles, les kits, tout ce qu’il faut pour aller au bout, quoi.
1h20 de route plus tard (oui, il faut ça quand même), et sans se faire coincés par la maréchaussée, nous arrivons sur le « parking » de Marut. C’est désert, mais nous sommes sous le soleil, et ça, ça fait du bien.
Avant de partir sous terre, un petit vol de drone s’impose : Bon, le problème est toujours le même en hiver – les couleurs sont moches ! Casse ne l’a tienne, on fera quand même quelques figures de styles pour s’entraîner à manipuler le drone.

Petite pause « casse-croûte » – Mamie ne mange pas, c’est pas bon pour son corps !
Allez, tous en tenue de spéléo ! Cassandre enfile sa sous combine et sa combine – c’est chiant les « tout jeune », ça pousse à une vitesse grand « V ». Ouf, la combarde passe encore, et le baudrier aussi : c’est magnifique !
Bouquet final de l’équipement, la poignée de « gaucher », au poil quand on est inversée.
Pour le portage du matos, Cassandre est volontaire, et ça tombe plutôt bien.
Les premiers pas dans la cavité se font rapidement – ce n’est jamais que la 3ème visite pour Cassandre de cette cavité. Mais aujourd’hui, nous avons décidé d’équiper les vires, et ça, c’est pas des plus évident. Au départ, tout va bien. Il faut des vires tendues pour progresser facilement. C’est en haut que ça se complique. Je n’avais pas vu la complexité de la chose quand on est petit et vraiment débutant. J’équipe la vire sur le reste du parcours et je remonte vers le point haut de la vire.

En fait, le fait de remonter la vire me permet d’envisager le reste de la progression : trop compliqué pour les tout petits. On fait donc demi-tour. il faudra revoir l’équipement pour les spéléos en herbes, parce que là, ça me paraît un peu trop ardu pour le moment.

On ressort et on se dirige vers le saut de La Pucelle (Cassandre a trouvé un autre nom : La Pleunicheuse. C’est pas bête). Là, nous constatons que la rivière est à flot. Bon, c’est pas grave, y a qu’à aller voir ce qui se passe dedans. Quitte à avancer, autant marcher dans l’eau.
Nous avançons dans la perte, les pieds dans l’eau, jusqu’au premier siphon. Là, pas de chance, ça passe vraiment pas. Le niveau d’eau est quasi à son maxi au niveau du premier siphon. Deuxième demi-tour et direction Rocamadour, pour faire… Ben rien, vu que c’est COVID pour tout le monde. Y a déjà un peu de brume sur les flancs de Rocamadour; pas de quoi faire de belle photo. Petite crignotich’ avec les gâteau du coin et direction maison. Bon, faut l’avouer, le jeune peut dormir dans n’importe condition et se refaire la cerise rapidement. Du coup, arrivée à la maison, les piles sont rechargées pour Cassandre, mais pour les viocs.

 

 

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