spéléologie, plongée, photographie, nage en eaux vives, via ferrata, plongée

21-08-1999 La Léoune et init dans la grotte des Combes

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21-08-1999 La Léoune et init dans la grotte des Combes

TPST: 4 h 30 + 2 h 00 /

Domi – Charlotte – Groro – J’en Pète

Samedi 21 août : La Léoune – J’en Pète et Groro
Ojectif : Trouver l’entrée. Ce fut fait assez rapidement (c’est étonnant, mais c’est comme ça). Après un équipement de pro (…), du P40, nous sommes partis éprouvés nos appareils photo dans la 1ère grande salle de La Léoune. Après 2 heures passées à prendre la salle en photo, le brouillard s’empare de la salle : séquence pliage du matos. Groro a visité rapidement le réseau amont, qui sera vraisemblablement notre nouveau terrain de jeu pour ce second semestre 99.
TPST : 4 h 30
Dimanche 22 août : Initiation dans la grotte des Combes
Ce fut les premiers pas et les premiers contacts avec du vrai matériel spéléo pour Charlotte. Pour Domi et le reste de l’équipe; une redécouverte d’un trou déjà visité, il y a au moins 6 ans. Nous en avons profité pour y faire quelques clichés.
TPST : 2 h 00

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14-07-1999 Initiation spéléo

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14-07-1999 Initiation spéléo

TPST: tout plein /

Roro – J’en Pète / Extérieurs (Groupe EEDF Lochois – branche « aînés »)

Mercredi 14 juillet :
Fête nationale, mais aussi visite de La Barelle, aven célèbre et remarquable du causse Méjean. Bien qu’un peu long au démarrage, la fine équipe a progressé sans encombre dans cet aven. Nous nous sommes arrêtés à la base du 2ème puits et nous avons profité du paysage. La prise de contact avec une vraie cavité de spéléo s’est très vite faite, même certains (ou certaines) ont piétiné à volonté, un pauvre piaf (?) tombé là par hasard. Le 2ème puits a failli être arrosé, Kevin l’a bien senti. Aucun soucis du côté des filles, qui ont été au même niveau que leurs coéquipiers.
TPST = 4 h 30
Jeudi 15 juillet :

         

Appros pour certains à la grande ville (Millau). Pour Groro, Kevin et Denis ce fut le repérage des cavités de l’après midi (Poujol et Sourgette). Malgré les courses reposante de la très grande matinée, Claire, Annelise et Géraldine se sont reposées au gîte tandis que le reste de l’équipe découvrait deux autres cavités caussenardes. La grotte de Poujol se résume à deux grandes salle comportant un plafond de fistuleuses et quelques draperies encore blanches. Sourgette est une résurgence qui se trouve au niveau du lit de la Jonte, au pied du causse noir. Ce sont deux petites courses d’initiation aux passages tranquilles et sympathiques.
TPST = 2 h 00 repérage (Roro, Denis et Kevin) , 2 h 00
Roro, J’en Pète, Kevin, Alex, Denis.
Vendredi 16 juillet :
Repos pour les initiés et repérage pour les monos. On a fait l’aven des Avens et c’est tout, puis on a tenté de repérer Rocoplan et Crapounet du côté de Banicous : Les trous se sont apparamment cachés sous terre pour ne pas qu’on les repère. Nos documentations datent d’avant un bon nombre de plantations de forêt, sans systèmpe GPS, les localisation sont quasiment impossibles.
TPST = 2 h 00
Samedi 17 juillet :
DEVES et la perte des Hérans pour la fine équipe; c’est facile et en plus il y a des charognes en bas des puits. Il était temps que cela se termine; les recharges de carbure étaient à sec.
TPST = 3 h 00 + 2 h 30
Dimanche 18 juillet :
Voiture pour les monos, nos routes se séparent vers des horizons différents.

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10-07-1999 La Pucelle

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10-07-1999 La Pucelle

TPST: 2 h 00 /

Roro – J’en Pète – Domi – Charlotte – Dauby – Nicolas – Alexandre (si jeunes et déjà atteints du virus CRAD)

Samedi 10 juillet :
Rien === cause mariage (et fatigue le soir…)
Dimanche 11 juillet :

Visite et découverte humide pour nos spéléos en herbe. Pour les passages aquatiques, les trois petits étaient sur nos épaules. Motivés comme jamais, ces nouveaux spéléos des temps modernes ne se sont pas fait peur. Ce milieu hostile n’est pour eux qu’un nouveau terrain de jeu, qui semble être sans danger. Pour nous, qui avons acquis une certaine expérience dans la pratique de la spéléo, les techniques de progression nous font découvrir de nouvelles difficultés à chaque sortie de formation. L’expérience est-elle source de complication ?
TPST = 2 h 00

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03-07-1999 Initiation techniques spéléo au château d’eau de Tours (37) – visite de Trogues (86)

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03-07-1999 Initiation techniques spéléo au château d’eau de Tours (37) – visite de Trogues (86)

TPST: 2 h 00 /

Roro – Dauby – J’en Pète / extérieurs : Roland et Denis pour le SCTours – groupe des aînés EEDF (mouvement de scoutisme) de Loches -37-

Entraînement château d’eau de Tours :
Loin de nous inquiéter durant une initiation, nous avons tout de même décidé d’effectuer une petite formation aux techniques de progression spéléo, pour les jeunes du groupe des Éclaireurs et Éclaireuses de France, de Loches (37), en vue de leur camp d’été, dans les grands Causses. Cette première prise de contact a permis de régler leur matériel individuel. En effet, nous avons réglé, en longueur, quelques longes, et expliqué la fonction de chaque équipement individuel (baudrier, longes, bloqueur, poignée). Ils ont effectué quelques remontées et descentes sur corde avec, quand même, une certaine appréhension.
Visite de Trogues (86) :


Récompense d’une matinée d’entraînement dans un château d’eau, c’est la visite d’une carrière souterraine d’extraction de calcaire, à Trogues. Cette carrière désaffectée, est en grande partie inondée. La visite a commencée calmement sur l’eau, et sur bateau. Bien vite, l’humeur aquatique des « spéléistes » en herbe, s’est réveillé. Et puis, ça c’est terminé dans l’eau.
TPST = 2 h 00

 

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26-06-1999 La Léoune sur le causse de Limogne

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26-06-1999 La Léoune sur le causse de Limogne

TPST: 5 heures /

Le Chbonx – J’en Pète – Zerb’ – Dauby

Samedi :
Après un petit déjeuner, très bien agrémenté de croissants et autres pains au chocolat (ça fait un peu maison de vieux, mais c’est pour l’ambiance), nous avons fait mouvement vers un point stratégique du Lot : la grande surface de Gramat. On n’est pas encore en vacances, et donc les spécialités du coin ne sont pas encore au rendez-vous des spéléos (et pis en plus, ça coûte !). A quel plaisir de faire ses courses le samedi, dans une grande surface, poussez le caddie, tâtez de la conserve, choisir le pinard, et faire la queue à la caisse – bref, des plaisirs simples, pour des spéléos restés simples. Même à quatre devant la caisse, c’est toujours l’angoisse et cette grande question qui nous torture l’esprit : Qui va bien pouvoir sortir sa carte, et composer son code, sans trembler en voyant le montant de la facture. Cette fois-ci, ce fut Grauby.
Les photosVers 14 h 00, on est arrivé à l’entrée du P40 de la Léoune. C’est un petit puits, qui a subi les ardeurs dévastatrices du Spéléo Club de Limogne en Quercy. Un vrai travail de pro – Le puits a été élargi juste ce qu’il faut, ni plus, ni moins. A sa base, on rentre tout de suite dans le vif du sujet : Grands volumes – concrétions splendides – et boue argileuse très très collante. Nous avons visité le départ de la rivière après les grandes salles, jusqu’à un passage que nous avons jugé trop humide pour ce week end.
Après cette petite visite, nous avons regardé d’en haut le célèbre puits Mandéla de 91 m. La tête de puits a été maçonnée sur au moins 3 m de haut. Ce puits a suscité l’enthousiasme général, pour une prochaine visite fin août ou en septembre.
TPST = 5 heures
Dimanche :
Nettoyage dans la Dordogne à côté de Montvalent et retour au bercail.

  

  

 

  

 

 

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12-06-1999 Réveillon et Cuzoul de Sénaillac

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12-06-1999 Réveillon et Cuzoul de Sénaillac

TPST: 4 h 30 + 2 h 00 /

Roro – Le Chbonx – J’en Pète / extérieurs : Roland – Raymond – Sylvain

Les photos

Salle du Livre

Cette grande excursion lottoise a fait sortir notre Ramuncho de sa tanière. Pour lui, la route s’est presque déroulée sans encombre. Parti de chez lui vers 17 h 00 GTM, il a failli (bien) arriver chez Jean-Louis vers 22 h 00.
Le voyage s’est bien passé, mais au dernier moment, ça s’est mis à merder. Allez donc savoir pourquoi, le bougre a tenté de nous trouver sur le terrain. Alors comme il se faisait tard, et qu’il ne voyait personne, le doute s’est emparé de lui. Il a cru qu’on ne venait pas, alors il est retourné sur Lunegarde (46 240), puis il est venu rôder près de la maison de Jean-Louis. Ce dernier se demandait bien quel était le voleur de poule qui se baladait sur son terrain. Bref, le Ramuncho a fini sa nuit dans sa bagnole, comme un gangster.
Samedi : Au petit jour (presque en pleine nuit), vers 8 h 00, il est apparu dans la maison. Impressionnant, presque terrifiant, j’ai vu la porte s’ouvrir violemment, puis une silhouette imposante s’est engouffrée dans ce torrent de lumière. C’était lui, El Ramunnncho, vociférant, hurlant dans cette petite maison au calme quasi légendaire, qui fait la réputation des coins tranquilles. 115 décibels de voix, avec un rythme de marteau piqueur, le réveil a été efficace. Tout le monde s’est levé rapidement. Faut dire qu’on avait demandé au baroudeur de tenter de fabriquer du café. En fait, si on s’est levé, c’était davantage pour sauver la cafetière, que pour écouter les histoires de sommeil de l’énergumène.
Réveillon : TPST = 4 h 30
Pour un certain, se fut sans doute une redécouverte d’un milieu souterrain déjà visité en des temps reculés (enfin, faut peut-être pas délirer quand même, 8 ans c’est pas si long). Il faut dire que Ramuncho, et oui, il s’agit bien de lui (je sais, encore lui) a pris une légère surcharge pondérale, qui est quand même assez remarquable. Le temps a passé et ses vertèbres aussi. Les petits passages étroits lui ont fait remarquer ses petites formes arrondies ; dur jugement de dame nature. C’est dans ces moments là, qu’on pense à tout faire péter. En plus, le jeune du groupe (Sylvain) est passé partout sans trop de difficulté (ah! ces jeunes, aucun respect pour le deuxième âge !?!). Lui, on ne l’a pas entendu durant la sortie, ce doit être un contemplatif. Le reste de l’équipe progressait calmement et sans problème dans les réseaux et les puits. Pour Chbonx et Roland, ce fut la découverte de nouvelles salles dans le réseau fossile de Réveillon. Certes, c’est un trou boueux, mais c’est grand (des fois!).
Cuzoul de Sénaillac : TPST = 2 h 00
Les photosOn ne présente plus cette cavité d’initiation (pour certains). Les parois du puits d’entrée sont équipées avec des « RINGS », mais leurs emplacements sont un peu étranges. En effet, certains anneaux sont le siège de quelques frottements (allez voir par vous-même, ça vaut le détour). Le Groro et le Chbonx ont tenté bassement de me bai…é la gu…le. Ils m’ont conseillé d’aller voir en bas du puits noyé. J’y suis aller pour les concrétions en choux-fleurs, dans une eau aux reflets vert émeraude. Bon forcément, en bas de la corde, le jeu consiste à quitter la corde sans toucher l’eau ; c’est acrobatique, mais ça fait sport. Ca fait bien pour Dame Nature.
Le soir : On a mangé, on a un peu bu, et pis on est allé se couché…
Dimanche : Nettoyage du matos dans la Dordogne, à côté de Montvalent. Le cadre est sympa, et le moteur du bâteau des pompiers aussi (presque aussi puissant que Ramuncho, c’est dire…).


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Réveillon1999-06-1207

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Réveillon1999-06-1206

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Réveillon1999-06-1205

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Réveillon1999-06-1204

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Réveillon1999-06-1203

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Réveillon1999-06-1202

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Réveillon1999-06-1201

 

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22-05-1999 Congrés National à Mandeure (25)

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22-05-1999 Congrés National à Mandeure

TPST: tout plein /

Roro – J’en Pète

Et voilà, un de plus dans l’escarcelle du spéléo gaulois – Ce congrès national n’a pas failli à la « tradition » et la grande gauloiserie des spéléos présents sur le terrain a pu se dérouler dans cette sérénité qui nous caractérise si bien.
Nous sommes arrivés dans la nuit de vendredi à samedi, vers minuit trente, devant les portes du camping. Arrêt par manque de matériel ou par manque de clé, nous sommes restés dormir sur le parking, devant le camping. Puis le GAS (45) est arrivé, et a passé. Et puis, se fut un spéléo belge, en caravane qui s’est planté devant, comme nous, puis des ariégeois (en « Berlingo » jaune), et puis, bien plus tard dans la nuit, les très discrets tarnais (Ô merde, encore eux [Speedy, Sylvain, Lionel, et les gars sérieux qui réfléchissent au devenir de la fédé]).
Samedi 22 : Retrouvailles et réveil (déjà) difficile pour certains. On commence la journée par claquer du blé dans du matos photo et un peu spéléo. Recherche de documentation sur les cavités équipées, et ravitaillement au supermarché du coin pour le « pif » et la bouffe. Retour à la buvette, à proximité du centre culturel, pour casser une croûte. Chié, j’ai pas de couvert, ni couteau ; Va valoir manger comme une bête ? L’après-midi, on visite encore les stands, des fois qu’on aurait pas bien tout compris. Et puis, arrive l’heure tant attendue de l’apéro. Bon, ben… , en gros, tout y est passé, et puis après quelques heures, on s’est dirigé vers le lieu de projection d’un film. Y sont chiant aussi, à mettre une buvette en embuscade, avant la salle de projection. Résultat c’est Sylvain qu’a eu droit au test varois (y sont cintrés dans ce pays).
J’explique brièvement le test:
1 – vous prenez un entonnoir de taille correct (30 cm de diamètre – 50 cm de haut – trou de sortie 20 mm)
2 – vous trouvez une bonbonne de « pif » d’environ 8 litres
3 – vous prenez un poch’tron dans l’assemblée
4 – vous tentez d’expliquer la manip au poch’tron
5 – vous placez alors l’appareil dans le bec du réservoir vivant
6 – vous remplissez copieusement l’entonnoir de liquide rouge
Normalement, un poch’tron entraîné doit pouvoir tenir, mais pour Sylvain, tout c’est ramassé par terre. Vraiment, là, j’crois que les varois sont indétrônables. Leur puissance restera, à mon avis, longtemps inégalée.
Dimanche 23 : Réveil matin quasi collectif dans ce camping 3 étoiles, vers 7 h 30.
Au programme : Montaigu, un trou « équipé » jusqu’à -210 m. Bon ben, on a mis 3 heures parce qu’il fallait attendre qu’un groupe remonte le P50 (plein gaz). On a pu constater un équipement vraiment original :
– absence de double amarrages dans le premier puits, malgré des changements de directions importants (!?!)
– main courante qui traîne dans la boue sans que l’on puisse trouver sa réelle utilité
– quadruple amarrage en tête du P50 (c’était peut-être pour rattraper les ratés du premier puits ?)
– frottement de la corde sur une corniche calcaire (vu que la corde fait 10,5 mm, tous les frottements sont peut-être autorisés ?)
– mou dans la corde montante ne permettant pas de faire de clé (mais autorisant une petite gymnastique lors de la remontée)
– boucle de noeuds de 10 cm pour les huits et 25 cm pour les lapins (noeuds amortisseurs ?)
– absence de double ancrages en tête de puits (P39)
J’ai vraiment le sentiment qu’il est primordial de se former aux techniques de progression sous terre. C’est dommage, c’est la seule grosse faute note de ce congrès.
TPST = 3 h 00
Vers 20 h 00 , le nouveau président de la Fédération Française de Spéléologie a été élu. Pour de plus amples détails, il est préférable de questionner vos représentants régionaux et vos grands électeurs (se sont eux qui ont votés). De toute manière on renouvelle l’ensemble du comité directeur l’an prochain.
Le soir : Dîner collectif dans le centre culturel pour environ 250 spéléos – c’était très bon, mais un peu long (compte tenu du nombre).
J’ai réussi à tenir pratiquement 3 h 30 à côté des savoyards (y z’ont vraisemblablement pas inventé l’eau chaude), mais ils lichent sévèrement. Un moment, j’ai cru que j’étais dans un stade de foot, avec les supporters de l’OM. Je vous laisse imaginez l’inimaginable.
J’ai vu devant moi une telle concentration de connerie que notre collectif en est resté figé sur leur siège. On était impressionné par cette incommensurable connerie. Nous avons attendu le dessert dans le calme, totalement anéantis par tant de bêtise. Une fois terminé, nous nous sommes pressés vers la sortie, pour aller dormir.
Lundi 24 : Démontage et voiture
TPSR = 6 h 00

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13 mai 1999 Sortie dans les grands causses (Aveyron / Gard / Lozère)

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13-05-1999 Sortie dans les grands causses

TPST: tout plein

Roro – Domi – Charlotte – Dauby – Zerb’ – J’en Pète

Pour la plupart des participants, le week end a débuté le mercredi soir, quand il a fallu se rendre à notre point de chute habituel, dans le Lot (chez Jean-Louis). Comme d’habitude, les arrivées se sont échelonnées jusqu’à 1 h 00 du matin, et comme d’habitude il s’en est suivi des discussions culturelles, comme on en entend souvent dans le milieu du gaulois spélus.
Les photos Jeudi 13 : Ah, c’est fois c’est Domi et Graubie qui sont aller chercher le p’tit déj’. Jean-Louis est arrivé en fin de petit déjeuner, et on lui a présenté notre plan d’attaque dans les grands causses.
Bon, c’est pas le tout, mais c’est pas qu’on s’ennuie, mais faut qu’on y aille. Trois heures de route jusqu’au gîte de Hyelzas*, juste à côté de l’aven Armand, c’est pas que ce soit très loin, mais les routes du causse Méjean ont la fâcheuse habitude de se transformer, de temps en temps, en de vulgaires chemins tout juste gravilonnés, ou à peine goudronnés. Si vous avez l’occasion de faire un saut là bas; faîtes comme nous, arrêtez vous pour admirer le panorama (gorges du Tarn du côté des Vignes). Après une rapide installation, l’équipe décide de faire une rapide visite des gorges de la Jonte, par un sentier de randonnée (4 heures aller-retour, faut jamais abuser des bonnes choses).
Vendredi 14 : Petite escapade à Millau pour faire les appros. Le causse s’est beau, mais pour le ravitaillement, il vaut mieux garder ses habitudes de pauvres, et piller les rayons d’une grandes surface (c’est pas terrible, mais c’est pas cher). Bon, le décor y est, l’ambiance est là, et les artistes trépignent d’impatience, à l’idée de descendre dans de nouveaux abimes caussenards. Les 4 gars décident d’aborder le causse Méjean par le bon côté des choses : y a qu’à choisir un trou, et pis ensuite, y a qu’à le trouver.
Les photosC’est la deuxième partie de l’activité qui est généralement la plus délicate à réaliser. Nous, on avait choisit Bauma Rosso, entre ciel et terre, en bordure du causse Méjean. Approche en voiture et vomi de Domi sur le bord du chemin qui fait exprès d’être tout près du précipice. On marche, et puis marche, et puis…, on cherche, et puis après on se dit qu’on s’est planté, alors… on marche encore. Finalement, on a jamais trouvé ce trou, alors on est rentré. En fin d’après midi, on est aller faire quelques photos d’extérieur.
Samedi 15 : Enfin le grand jour, celui de Hure. Trou célèbre du causse Méjean, pendant longtemps le plus profond du causse. On décide de limiter notre descente à environ -200 m.

Les artistes se lèvent à 6 h 30, il fait frais (je vous dit ça, parce que moi j’me lève jamais en pleine nuit, alors j’connais pas ces ambiances que sont les matins frileux où même le soleil semble grelotter). Arrivée et équipement de l’entrée de Hure à 8 h 30. Tiens, des cordes sont déjà en place, et aucun véhicule à l’horizon. 3 choix s’offrent à nous:
1. on pique le matos, et on se casse;
2. on se casse, et on recherche le groupe qui s’est réservé le trou pour lui pulvériser la « chetron »;
3. on double l’équipement et on descend tranquille.
Les photosRésultat des courses… Réponse n°3, bien sûr (ça faisait chier de chercher l’autre groupe, en plus le trou était déjà équipé la veille). Malgré une fiche d’équipement qui tient plus de la magie que de la spéléo (pensez à multiplier le nombre d’ancrage par 2 avec beaucoup de sangles), nous sommes quand même descendus vers -150 m. Hure est une classique qui ne présente pas de réelles difficulté, si ce n’est une multitude de SPIT pourris et des équipements assez originaux, voir même audacieux. Beaux puits et joli méandre sont au programme, je vous les recommande pour faire de la photo (les parois se découpent bien et les contrastes sont sympas).

TPST = 7 h 30
Dimanche 16 : Rangement du matos et retour à la maison.
TPSR*= 3 h 00 + 3 h00 (Lot + Indre) / 3 h00 + 5 h 00 (Lot + Indre & Loire)
* Temps Passé Sur la Route

   

        

 

Hyelzas* : gîte d’étape 20 personnes / 6 personnes / 6 personnes
Claude PRATLONG
HYELZAS
48 150 HURES LA PARADE
04.66.45.66.56 (heures des repas) ou 04.66.45.65.25
45,00 frs / nuitée.

 

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01-05-1999 Réveillon et l’igue d’Angéli (le Cornouillé)

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01-05-1999 Réveillon et l’igue d’Angéli (le Cornouillé)

TPST: 5 + 3,5 heures /

Roro – Le Chbonx – J’en Pète

Voici venu enfin les beaux jours, et avec eux les bonnes et longues sorties nocturnes des spéléos. Ce week-end devait être celui de Viazac, mais faute d’effectif, nous nous sommes rabbattus sur l’igue de Planagrèze. Pour Chonx, c’est super, ça fait 5 fois qu’il ne peut pas descendre dedans, mais là, ce week end, c’est sûr, il va y aller.
Déjà midi, on arrive sur dans le chemin qui mène à cette grande classique du Lot. On roule plutôt doucement sur le chemin, en rappelant à Chonx que c’est aujourd’hui la 6ème tentative. Tiens on dirait bien des gens qui mangent près du panneau de présentation de Plana. Tiens, c’est même une équipe de spéléo de l’Aveyron. Bon, ben j’crois que c’est râpé pour cette fois encore Chonx, on fera Plana une prochaine fois (la 7ème tentative sera sûrement la bonne).
Changement de programme donc, et nous décidons d’aller à Roc de Corn : trop d’eau et en plus Groro n’avait pas de ponto ou de néo pour le passage de la marre à Martel.
Changement de programme DONC, et direction Réveillon : pas d’eau dans le fossile (de toute façon, y en a jamais). Ramping, balade dans la grande salle Bernard (j’crois qu’elle s’appelle comme ça), passage sur des équipements quelque peu douteux et suivi photo.
TPST = 5 heures
La nuit est loin d’arriver, et il y a sûrement d’autres trous à visiter. Ce sera l’igue d’Angéli près de Cornouillé à 4 km de Reihlac. Cet un trou caractéristique du Lot, en forme de tire-bouchon et plein de CO2. On a eu du mal à retrouver l’entrée 5 ans après nos premières visites dans ce truc. Chonx a encore équipé, et c’était pas mal, malgré le gaz.
TPST = 3,5 heures

 

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17-04-1999 Désob dans Milieu 1

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17-04-1999 Désob dans Milieu 1

TPST: 7 heures /

Roro – Le Chbonx – J’en Pète – Dauby – Zerb’

Objectif : Mettre en place la cinquième VMC, pour dégazer la base de la cavité.
Samedi matin: Temps pourri, chié! Rien à bouffer au réveil, chié! J’entre ouvre l’autre paupière, j’espère que Graubie va s’empresser d’aller chercher à bouffer…
– 9 h 00, je me lève et je m’habille, Graubie m’attend pour aller chercher à bouffer à la Labastide Murat. M1 est une cavité particulière, qui demande un dégazage préalable d’au moins 3 h 00. Tout est pourri d’humidité, on se croirait en octobre. Le groupe démarre difficilement, on branche les groupes, on connecte la prise de terre, et hop! ça commence à sauter. C’est pas bien grave, ça marche quand même. A 14 h 00


Le Chbonx équipe M1 jusqu’au soupirail, vers 16 h 00 Zerb’ et Groro descendent les tuyaux, Graubie se charge des branchements et de la mise en place de la VMC5 dans le sas. Vers 17 h 00, il faut que je remonte parce que le câble électrique est bloqué dans le puits des révisions.Groro relève le taux ce CO2 : environ 1,2 %, c’est du jamais vu. Tous les raccordements effectués, l’équipe remonte à la surface, il est 21 h 00. Tout fonctionne parfaitement, l’aspiration en bout de tuyau (-56 m) fonctionne à plein régime, ce qui nous permet d’envisager plus sereinement les travaux de désob dans le passage du HILTI (tir à la cartouche, éclateur de roche et gros tirs).
TPST = 7 heures
Dimanche: lavage du matos dans la Pucelle. Il a pourtant bien plu, et y avait tout juste d’eau pour nettoyer le matos. Durant le nettoyage, j’ai eu des aigreurs d’estomac, j’ai fait part de mes malaises à l’assemblée présente. A mon avis ça provient sûrement de la viande que l’on pas mise au frigo ou éventuellement s’agit-il d’une bourbonite aiguë.

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